*Nuit de rêve*
Seule en ma nuit, en silence tu viens dans mes songes
Semblable à la source, verser l'eau sur mon coeur asséché
Qui goutte à goutte s'écoule éparse sur mon corps enfiévré
Un long frisson comme feuille au vent, s'agite dans l'ombre.
Semblable à la source, verser l'eau sur mon coeur asséché
Qui goutte à goutte s'écoule éparse sur mon corps enfiévré
Un long frisson comme feuille au vent, s'agite dans l'ombre.
Il n'y a ni serrure, ni clé à la fenêtre de ma mémoire
tu es entré à pas de loup derrière mes prunelles closes
Portée par la danse de tes pas nus dans le noir ,
Je sombre dans la fièvre des frissons, telle une virtuose
tu es entré à pas de loup derrière mes prunelles closes
Portée par la danse de tes pas nus dans le noir ,
Je sombre dans la fièvre des frissons, telle une virtuose
Cette source, que tu m'offres en guise de bijoux, m'éblouit
Comme une arabesque danse et ruisselle sur ma nudité,
Sous un nuage de brume, se fige sur mes sens effeuillés
Insufflant sur les rives de mon âme, toutes les fantaisies.
Avec toute la volupté, où se mêle le souffle de mes envies,
Au profond de mon lit, à l'écart, tu veilles sur mon coeur,
Pour que le sommeil vienne lécher les secrets du bonheur,
De ton ange aux blanches ailes, isolé dans son nid.
Tu emportes mon esprit, comme une proie abandonnée,
Dorant le ciel de mes rêves, tu déposes des pétales de fleurs,
Sur le lit de ma chambre secrète, tapissé de roses étalées,
Je dors l'aile repliée en ton ombre, dans un océan de douceur.
Comme une arabesque danse et ruisselle sur ma nudité,
Sous un nuage de brume, se fige sur mes sens effeuillés
Insufflant sur les rives de mon âme, toutes les fantaisies.
Avec toute la volupté, où se mêle le souffle de mes envies,
Au profond de mon lit, à l'écart, tu veilles sur mon coeur,
Pour que le sommeil vienne lécher les secrets du bonheur,
De ton ange aux blanches ailes, isolé dans son nid.
Tu emportes mon esprit, comme une proie abandonnée,
Dorant le ciel de mes rêves, tu déposes des pétales de fleurs,
Sur le lit de ma chambre secrète, tapissé de roses étalées,
Je dors l'aile repliée en ton ombre, dans un océan de douceur.
