Nuit d'apocalypse...
Terre en ton sein, tu couves le plus grand feu
Que l'on ne puisse imaginer...Je te sens brûler,
Je t'entends qui gronde, sur le point d'agoniser...
Terre, tu vas exploser aux regards des cieux...
Toi ma vie, il ont enfin réussi, ils vont nous tuer,
Par leurs excès de toutes sortes, leurs bombes
Creuseront bientôt le trou béant de nos tombes...
A tout jamais de la vie s'en est fini, fini de rêver...
Les plaines se dessèchent et l'eau va manquer
Les déserts se figent et les oasis disparaissent
Le lit vide des rivières assoiffées s'affaissent,
La bêtise des hommes pourra t-elle s' arrêter?
Le vent se lève...Et monte sa chanson amère...
Je sens son souffle froid, sa caresse brutale.
Il hurle à la lune, tel un loup blessé qui a mal,
Libérant la puissance des démons de l'enfer...
Le ciel couleur d'ardoise tombe sur ma terre,
Lui offre un dernier baiser au goût de cendre,
Précédant le tocsin glacé...On peut entendre
Les cris des humains mordant la poussière...
Tout s'effondre autour de moi, je vais sombrer...
Ma tête heurte violemment le sol s'affaissant...
Je sursaute, encore un cauchemar angoissant.
J'émerge en la douceur bleue de mes oreillers...
Terre en ton sein, tu couves le plus grand feu
Que l'on ne puisse imaginer...Je te sens brûler,
Je t'entends qui gronde, sur le point d'agoniser...
Terre, tu vas exploser aux regards des cieux...
Toi ma vie, il ont enfin réussi, ils vont nous tuer,
Par leurs excès de toutes sortes, leurs bombes
Creuseront bientôt le trou béant de nos tombes...
A tout jamais de la vie s'en est fini, fini de rêver...
Les plaines se dessèchent et l'eau va manquer
Les déserts se figent et les oasis disparaissent
Le lit vide des rivières assoiffées s'affaissent,
La bêtise des hommes pourra t-elle s' arrêter?
Le vent se lève...Et monte sa chanson amère...
Je sens son souffle froid, sa caresse brutale.
Il hurle à la lune, tel un loup blessé qui a mal,
Libérant la puissance des démons de l'enfer...
Le ciel couleur d'ardoise tombe sur ma terre,
Lui offre un dernier baiser au goût de cendre,
Précédant le tocsin glacé...On peut entendre
Les cris des humains mordant la poussière...
Tout s'effondre autour de moi, je vais sombrer...
Ma tête heurte violemment le sol s'affaissant...
Je sursaute, encore un cauchemar angoissant.
J'émerge en la douceur bleue de mes oreillers...