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NOS RETROUVAILLES,POUR LONGTEMPS

natura

Nouveau poète
#1
NOS RETROUVAILLES Je descends lentement ce faubourg, Ou l’on s’est donné rendez-vous, Comme au temps de nos premières amours. Nos désaccords nous ont séparé malgré nous, J’en ai pleuré des torrents de larmes, Pour me guérir de ton absence, Tu n’as pas su lire tous mes silences, De ce qui était ma fraîcheur d’âme, Désormais, aimons-nous au-delà de tout. Avant que je devienne la femme de tes désirs, De mes blessures d’enfance, il me fallait guérir, Avec toi, je voudrais vivre un grand amour, Un amour absolu, à la vie à la mort, Unissons nos rêves afin d’être plus fort. Prenons le temps de vivre, Sans regret de s’être retrouvées, Par amour, je suis ta parisienne, Lorsqu’on se promène sur les quais de la seine, Qu’il est doux de se sentir aimées, Goûtons à nouveau aux joies partagées. Je t’emmènerais voir les bateaux blancs, Tout près de chez moi, vers le grand océan, Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis, Et non par pour ce que tu voudrais que je sois, J’aimerais que tu sois le phare de mes nuits, Afin de combler tout mon ennui. J’ai le cœur comme un grenier, Plein de mes souvenirs d’hier, Et de trésors bien cachés, Que je compte bien partager, Faisons l’école buissonnière, De tes envies, je serais ta prisonnière, Profitant de notre jeunesse en toute insolence, Dans ce monde de grandes turbulences, J’aimerais voir poindre nos premières rides ensemble, Et construire notre avenir, de bonheur, j’en tremble, Vivons notre amour au grand jour, En nous faisons confiance, Conjuguons le verbe aimer à tous les temps, Surtout au présent et bien sûr au futur. Comme j’en ai rêvé depuis bien longtemps… Prenons le temps de vivre, Sans regret de s’être retrouvées, Par amour, je suis ta parisienne, Lorsqu’on se promène sur les quais de la seine, Qu’il est doux de se sentir aimées, Goûtons à nouveau aux joies partagées.