Sur ma bouche, tes lèvres s'abattent
Telles une vague de la mer tourmentée
Sur les parois rudes d'un rocher
Lourdes de désespoir, d'une rage maladroite
Un manque départageant les plus grand océan
Un regret gardant nos esprits séparés
Malgré le fait que nos corps s'enlacent, fusionnés
Le désir n'est pas plus fort que les sentiments
Et nos cœurs sont le terrain de guerre
Nos corps joints, comme toujours, en harmonie
Sont là où les peurs s'effondrent, le paradis
Mais les deux sont et resteront toujours des contraires.
Telles une vague de la mer tourmentée
Sur les parois rudes d'un rocher
Lourdes de désespoir, d'une rage maladroite
Un manque départageant les plus grand océan
Un regret gardant nos esprits séparés
Malgré le fait que nos corps s'enlacent, fusionnés
Le désir n'est pas plus fort que les sentiments
Et nos cœurs sont le terrain de guerre
Nos corps joints, comme toujours, en harmonie
Sont là où les peurs s'effondrent, le paradis
Mais les deux sont et resteront toujours des contraires.