Non
Djebrale .
Non je ne m’en vais pas, je ne retourne pas là-bas
Là-bas tous deviens noir, il n y a pas grands choses à voir
Pas de fleurs, pas d’enfants, pas d’amour à recevoir
Là-bas le ciel est toujours sombre et la mer perd sa joie
Même les roses ne sont plus des roses et l’innocence se noie
Si j’y étais par défaut le rêveur de tous les soirs
Non, je ne veux pas repartir car là-bas, il fait tard
Je veux remonter dans ta chambre et éteindre le noir
Là-haut il n y’aura pas de chaises, pas de miroirs ni de lois
Ni un lit, ni des draps, pas de murs même pas un toit
Il n y aura que nos deux bougies en bleu d’autre fois
Que j’allumerai des souffles comme tu faisais avec moi
Assieds toi sur mes genoux et dessines moi avec tes doigts
Poussons la lumière à s’intimider ainsi la lune de honte rougit
Car ils ne verront plus que nos âmes sous un ombre qui agit
Fermons les yeux fatiguer et oublions tous le passé ,
Non ne t’éloignes pas de moi, j’ai besoin de ton parfum
J’ai besoin de pleurer et me disperser sur ton chemin
Laisses tes bras m’entourer en caressant mes cheveux
Et laissons tes lèvres me brûler et enlacer tous nos voeux
Si tu veux, pars avec mes yeux qui se cachent prêt de ton oreille
Là où mes mots voyageaient et te monteraient des merveilles
Car mon regard de glace a besoin de fondre sur ton coup
Et mes larmes veulent te dire combien je t’aime loin des combats
Car tu es la dernière des femmes que j’aimerai jusqu’au bout
Pour revoir ton beau sourire quand tu sauras que mon cœur rebat
Que tu pars ou bien tu restes ? Après tous tu es en moi
Mes larmes couleront, j’avoue, sincèrement pour toi
Car c’était à toi de choisir la couleur de leur histoire
Des larmes d’amour ou de chagrins ? Et tu as choisi la dernière
Alors sache mon amour que je serai un coeur mort
Je quitterai tout ce monde car tu m’as montré le chemin.
Si le temps m’aidera à accomplir le tableau de mon destin
Je t’enverrai ses quelques lignes avec la brise de chaque matin
Tu resteras ma seule dame, tu resteras comme une flamme
Tu resteras comme une reine, tu resteras ma seul halène
Tu resteras seulement une femme, une belle fleur ferme
Tu resteras mon grand amour que j’ai perdu pour un délire
Là-bas tous deviens noir, il n y a pas grands choses à voir
Pas de fleurs, pas d’enfants, pas d’amour à recevoir
Là-bas le ciel est toujours sombre et la mer perd sa joie
Même les roses ne sont plus des roses et l’innocence se noie
Si j’y étais par défaut le rêveur de tous les soirs
Non, je ne veux pas repartir car là-bas, il fait tard
Je veux remonter dans ta chambre et éteindre le noir
Là-haut il n y’aura pas de chaises, pas de miroirs ni de lois
Ni un lit, ni des draps, pas de murs même pas un toit
Il n y aura que nos deux bougies en bleu d’autre fois
Que j’allumerai des souffles comme tu faisais avec moi
Assieds toi sur mes genoux et dessines moi avec tes doigts
Poussons la lumière à s’intimider ainsi la lune de honte rougit
Car ils ne verront plus que nos âmes sous un ombre qui agit
Fermons les yeux fatiguer et oublions tous le passé ,
Non ne t’éloignes pas de moi, j’ai besoin de ton parfum
J’ai besoin de pleurer et me disperser sur ton chemin
Laisses tes bras m’entourer en caressant mes cheveux
Et laissons tes lèvres me brûler et enlacer tous nos voeux
Si tu veux, pars avec mes yeux qui se cachent prêt de ton oreille
Là où mes mots voyageaient et te monteraient des merveilles
Car mon regard de glace a besoin de fondre sur ton coup
Et mes larmes veulent te dire combien je t’aime loin des combats
Car tu es la dernière des femmes que j’aimerai jusqu’au bout
Pour revoir ton beau sourire quand tu sauras que mon cœur rebat
Que tu pars ou bien tu restes ? Après tous tu es en moi
Mes larmes couleront, j’avoue, sincèrement pour toi
Car c’était à toi de choisir la couleur de leur histoire
Des larmes d’amour ou de chagrins ? Et tu as choisi la dernière
Alors sache mon amour que je serai un coeur mort
Je quitterai tout ce monde car tu m’as montré le chemin.
Si le temps m’aidera à accomplir le tableau de mon destin
Je t’enverrai ses quelques lignes avec la brise de chaque matin
Tu resteras ma seule dame, tu resteras comme une flamme
Tu resteras comme une reine, tu resteras ma seul halène
Tu resteras seulement une femme, une belle fleur ferme
Tu resteras mon grand amour que j’ai perdu pour un délire
Djebrale .
