Noir !
J’ai mal, mal de mes mots, des mots à mots, des maux
Qui naissent dans ma tête, je délire, mais c’est beau !
Un ouragan traverse mon esprit, folie
Et néant, je divague dans la mélancolie.
Mon âme est un torrent de doutes et de tourments
Le chaos à l’état pur, je n’ai plus par moment
De raison. Je crie dans le noir, j’appelle la mort
La camarde n’entend pas et me laisse à mon sort.
La nuit, dans mes cauchemars, je vois ce grand vautour
Qui étend sur moi, ses ailes noires et sans détour
Il me broie le cœur. Je me réveille le matin
Dégoulinant de sueur, de mes bas instincts !
J’ai le corps en douleur, un mal qui me détruit
Il me ronge, me mange comme la vermine
Je sens venir la mort, elle veut ma vie, la nuit
Elle me lacère de ses griffes la poitrine.
La bête de malheur me regarde, ses crocs mordant
Ma chair, je n’ai plus la force de réagir
Je suis une plaie, un amas dégoulinant
De pourriture, je n’ai plus envie de souffrir !
La bête sourit, avec un rictus de plaisir
Cà lui plaît de voir mon calvaire, elle va gagner
S’offrir le plus grand des mets, mon âme, son désir
Assouvir sa vengeance, je suis un damné !
Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.
Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire, si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.
La face sombre de mon être, me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite, comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.
J’ai mal, mal de mes mots, des mots à mots, des maux
Qui naissent dans ma tête, je délire, mais c’est beau !
Un ouragan traverse mon esprit, folie
Et néant, je divague dans la mélancolie.
Mon âme est un torrent de doutes et de tourments
Le chaos à l’état pur, je n’ai plus par moment
De raison. Je crie dans le noir, j’appelle la mort
La camarde n’entend pas et me laisse à mon sort.
La nuit, dans mes cauchemars, je vois ce grand vautour
Qui étend sur moi, ses ailes noires et sans détour
Il me broie le cœur. Je me réveille le matin
Dégoulinant de sueur, de mes bas instincts !
J’ai le corps en douleur, un mal qui me détruit
Il me ronge, me mange comme la vermine
Je sens venir la mort, elle veut ma vie, la nuit
Elle me lacère de ses griffes la poitrine.
La bête de malheur me regarde, ses crocs mordant
Ma chair, je n’ai plus la force de réagir
Je suis une plaie, un amas dégoulinant
De pourriture, je n’ai plus envie de souffrir !
La bête sourit, avec un rictus de plaisir
Cà lui plaît de voir mon calvaire, elle va gagner
S’offrir le plus grand des mets, mon âme, son désir
Assouvir sa vengeance, je suis un damné !
Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.
Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire, si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.
La face sombre de mon être, me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite, comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.