Un soir de pleine lune, Allongée dans l'herbe fraîche, Regardant les étoiles flamboyantes, Contemplant la lune, Je m'aperçoit: Que le ciel gronde, Que la lune saigne, Que les étoiles disparaissent, Que l'herbe ce noircit, Moi, seule au fond de mes pensées, Je suis la cause de ce cahot, Seule face à cette souffrance, Seule face à mon corps qui saigne, Je m'aperçoit que: Je suis plongée dans l'obscurité total, Je suis sans repères noyer dans mon sang, Je n'arrive plus à respirer, Moi, seule face à la mort, Je perd tout espoir, Je me laisse emportée par le courant, Je m'aperçoit que, Mon corps dit adieu à ce vaste mon chaotique, Dont, j'ai fais disparaître la lumière pour laissé place à l'obscurité.