Ne plus y croire !
Je ne veux plus y croire
A ces images noires,
A ces coups du destin
Qui ne vous laisse rien,
A ces mots sans contenu,
A ses phrases presque nues ;
Je ne veux plus y croire
A ce grand désespoir
Qui vous remplit la tête
Te gâchant même la fête
Qu’artificiellement
Tu te jouais dedans ;
Je ne veux plus y croire,
A toutes ces histoires,
A ces matins sans toi,
à chercher des pourquoi,
à ces soirs esseulés
qui t’obligent à rêver
en déguisant tes nuits
quand tu crèves d’ennuis ;
je ne veux plus y croire,
à ces vues délusoires,
à ce manque permanent,
de ton corps trop absent,
à tes mains sans refrain,
à tes seins incertains ;
je ne veux plus y croire,
à ces faits illusoires
faisant de mes envies
un éternel répit,
me privant de caresse
pour de simples promesses
d’un peut être demain
remplit d’espoir prochain ;
je ne veux plus y croire,
à ces trop longs couloirs
aux portes toutes fermées
de serrures cadenassées,
vous empêchant de voir
ce qui peut émouvoir,
mettant de grosses pierres
Dans vos cœurs bien trop fiers ;
je ne veux plus y croire,
à ces soirs d’assommoir
à noyer ses rancœurs
dans d’immondes liqueurs,
croyant dans la couleur
y trouver son bonheur,
je ne veux plus y croire,
à ces échappatoires
où c’est la poésie
qui devient toute ta vie,
te donnant des envies
qu’tout soit bientôt fini !
Je ne veux plus y croire
A ces images noires,
A ces coups du destin
Qui ne vous laisse rien,
A ces mots sans contenu,
A ses phrases presque nues ;
Je ne veux plus y croire
A ce grand désespoir
Qui vous remplit la tête
Te gâchant même la fête
Qu’artificiellement
Tu te jouais dedans ;
Je ne veux plus y croire,
A toutes ces histoires,
A ces matins sans toi,
à chercher des pourquoi,
à ces soirs esseulés
qui t’obligent à rêver
en déguisant tes nuits
quand tu crèves d’ennuis ;
je ne veux plus y croire,
à ces vues délusoires,
à ce manque permanent,
de ton corps trop absent,
à tes mains sans refrain,
à tes seins incertains ;
je ne veux plus y croire,
à ces faits illusoires
faisant de mes envies
un éternel répit,
me privant de caresse
pour de simples promesses
d’un peut être demain
remplit d’espoir prochain ;
je ne veux plus y croire,
à ces trop longs couloirs
aux portes toutes fermées
de serrures cadenassées,
vous empêchant de voir
ce qui peut émouvoir,
mettant de grosses pierres
Dans vos cœurs bien trop fiers ;
je ne veux plus y croire,
à ces soirs d’assommoir
à noyer ses rancœurs
dans d’immondes liqueurs,
croyant dans la couleur
y trouver son bonheur,
je ne veux plus y croire,
à ces échappatoires
où c’est la poésie
qui devient toute ta vie,
te donnant des envies
qu’tout soit bientôt fini !
