Ce ruisseau court vers l’ocean
Au matin, tu partiras rejoindre ces gens
Et ce soir, je respire ton odeur, seule mendiant
Et j’ai confié ma detresse à ce temoin muet, ce vent
Je n’ai pas tous les mots pour te retenir
J’ai tout l’amour d’une femme, la promesse d’avenir
Oui, j’ai le feu sacré, jusqu’à en mourir
Reste , donne moi le temps de te le dire et de te le faire découvrir
Mais si il faut que tu pars, tu me trouveras là ou tu m’as laissé
La ville, la route, ma maison, les chemins ou nous avons marchés
Je serais là, la nuit attend l’aube pour la délivrer
Ce ruisseau qui court vers l’ocean , reviens moi comme la douce pluie, mon aimé.
Au matin, tu partiras rejoindre ces gens
Et ce soir, je respire ton odeur, seule mendiant
Et j’ai confié ma detresse à ce temoin muet, ce vent
Je n’ai pas tous les mots pour te retenir
J’ai tout l’amour d’une femme, la promesse d’avenir
Oui, j’ai le feu sacré, jusqu’à en mourir
Reste , donne moi le temps de te le dire et de te le faire découvrir
Mais si il faut que tu pars, tu me trouveras là ou tu m’as laissé
La ville, la route, ma maison, les chemins ou nous avons marchés
Je serais là, la nuit attend l’aube pour la délivrer
Ce ruisseau qui court vers l’ocean , reviens moi comme la douce pluie, mon aimé.