N’ai-je !
Ressentir cet espoir adulant une envie,
Car fléchir sans vouloir et pour peu se saisir,
Fragrance en volupté veille aux sens du plaisir,
Donc bien sûr, le destin se tourne vers la vie !
Il suffit d’un regard et la faim la convie
Sous l’arc de cupidon sur défi se choisir ;
L’antre du troubadour où naîtra le désir,
Car l’amour partagé dort à l’âme assouvie.
J’ai laissé croître au cœur bien des ombres rêvant
L’idée envahissante en douceur comme au vent
Mon for intérieur en souvenir déferle
Et l’esprit sustenté d’un profond appétit,
Lorsque jouit le corps tel un astre serti,
N’ai-je jamais rivé dans la nue une perle !
Maria-Dolores
Ressentir cet espoir adulant une envie,
Car fléchir sans vouloir et pour peu se saisir,
Fragrance en volupté veille aux sens du plaisir,
Donc bien sûr, le destin se tourne vers la vie !
Il suffit d’un regard et la faim la convie
Sous l’arc de cupidon sur défi se choisir ;
L’antre du troubadour où naîtra le désir,
Car l’amour partagé dort à l’âme assouvie.
J’ai laissé croître au cœur bien des ombres rêvant
L’idée envahissante en douceur comme au vent
Mon for intérieur en souvenir déferle
Et l’esprit sustenté d’un profond appétit,
Lorsque jouit le corps tel un astre serti,
N’ai-je jamais rivé dans la nue une perle !
Maria-Dolores