Musicien de mon coeur
C’était au crépuscule, j’ondulais sur les flots
Ses doigts sur la lyre il jouait tout doucement
Un hymne si triste ! Tel un gémissement,
Balayé par les vents filant dans les échos.
Telle une partition dans l’écume envolée
Survolant lentement les rives de l’absence
Y scellant les notes baignées d’un long silence
Comme un oiseau chagrin sur la lande esseulée
Quand mon corps dévoilé, vint border l’océan
Je n’entends plus sur l’eau, les sons qui se sont tus
Au vent de mon amour, de soupirs éperdus
Mon espoir s’envola dans l’essor d’un élan.
En laissant sur ma route, un frisson qui désarme
Au ruisseau de mon cœur que la douleur avive
Par le temps submergé, au large à la dérive
En des sillons creusés sur les tresses de l’âme.
Je n’oublierai jamais, ces jours et ces hier
Où caressant ma peau sur la vague enroulée
L'éclat de son regard en douceur exhalée
Sous un rai de lune ondoyant sur la mer.
Katy-Ann
C’était au crépuscule, j’ondulais sur les flots
Ses doigts sur la lyre il jouait tout doucement
Un hymne si triste ! Tel un gémissement,
Balayé par les vents filant dans les échos.
Telle une partition dans l’écume envolée
Survolant lentement les rives de l’absence
Y scellant les notes baignées d’un long silence
Comme un oiseau chagrin sur la lande esseulée
Quand mon corps dévoilé, vint border l’océan
Je n’entends plus sur l’eau, les sons qui se sont tus
Au vent de mon amour, de soupirs éperdus
Mon espoir s’envola dans l’essor d’un élan.
En laissant sur ma route, un frisson qui désarme
Au ruisseau de mon cœur que la douleur avive
Par le temps submergé, au large à la dérive
En des sillons creusés sur les tresses de l’âme.
Je n’oublierai jamais, ces jours et ces hier
Où caressant ma peau sur la vague enroulée
L'éclat de son regard en douceur exhalée
Sous un rai de lune ondoyant sur la mer.
Katy-Ann
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