Mais de quelle façon on s’aime
Mon sésame !
Je me pliais, je te priais,
Tu bouges tes armes
Je résistais, je contestais
Tu me désarmes
Je souffrais, je déplorais, je pleurais,
Tu te réjouis de mes larmes
Mes larmes
Très brûlantes, me brûlaient
Et comme tu es en moi
Nous fondons, nous nous confondons
Corps et âmes
Mais de quelle façon on s’aime
Mon sésame !
Tu as escorté mon amour par les souffrances
Tu as tué en moi, attente, espoir, et patience
Crois tu après tout ça
Que tes mots vont me réconcilier avec mes souvenirs ?
Que ton regard va me garnir les jours à venir ?
Que mon cœur puisse te faire encore confiance ?
Mais de quelle façon on s’aime
Mon sésame !
Je n’existais qu’à travers ton existence
Je ne résistais que pour lâcher mes résistances
Et comme tu es en moi
Nous fondons, nous nous confondons
Corps et âmes
Et je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Moi qui te croyait l’âme sœur
Je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Moi qui me croyais ton cœur
Je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Sans blâme, sans condamnation
Sans reproche, sans réprobation
Je te confie aux jours
Je te confie aux chagrins et à la confession
Je te confie aux remords et à la contrition
Moi qui cherchait ta compassion
Ou au moins d’en avoir ration
Un jour ma tendresse te manquera
Un jour mon cœur te rejettera
Et les jours
Seuls les jours
Un jour
Me réconcilieront
Comme toujours
Et pour toujours
Mon sésame !
Je me pliais, je te priais,
Tu bouges tes armes
Je résistais, je contestais
Tu me désarmes
Je souffrais, je déplorais, je pleurais,
Tu te réjouis de mes larmes
Mes larmes
Très brûlantes, me brûlaient
Et comme tu es en moi
Nous fondons, nous nous confondons
Corps et âmes
Mais de quelle façon on s’aime
Mon sésame !
Tu as escorté mon amour par les souffrances
Tu as tué en moi, attente, espoir, et patience
Crois tu après tout ça
Que tes mots vont me réconcilier avec mes souvenirs ?
Que ton regard va me garnir les jours à venir ?
Que mon cœur puisse te faire encore confiance ?
Mais de quelle façon on s’aime
Mon sésame !
Je n’existais qu’à travers ton existence
Je ne résistais que pour lâcher mes résistances
Et comme tu es en moi
Nous fondons, nous nous confondons
Corps et âmes
Et je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Moi qui te croyait l’âme sœur
Je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Moi qui me croyais ton cœur
Je renais de mes cendres pour te confier aux jours
Sans blâme, sans condamnation
Sans reproche, sans réprobation
Je te confie aux jours
Je te confie aux chagrins et à la confession
Je te confie aux remords et à la contrition
Moi qui cherchait ta compassion
Ou au moins d’en avoir ration
Un jour ma tendresse te manquera
Un jour mon cœur te rejettera
Et les jours
Seuls les jours
Un jour
Me réconcilieront
Comme toujours
Et pour toujours