Mon pire ennemi.
Oui, oui je suis d’accord, je suis perdu
Sur les chemins des jardins suspendus
En chimères qui mènent à Babylone
Grand Dieu ! C’est normal avec trop d’alcool
Car en toute évidence je n’ai rien vu
Navigant sur le grand océan inconnu
Miroir d’une misérable vie convenue
Où glisse la brume, fine, froide et imprévue
Oui, oui je suis d’accord, Je suis foutu
Sur la fumée d’une cigarette qui me tue
Mes folles pensées brulent mes lèvres
Murmurant les mystères de mes rêves
Car en toute évidence je n’ai rien entendu
Les jours où dressée sur la haute crête
Tu me dis…Mon amour, s’il te plaît…Arrête !
L’anecdote de l’incohérence est saugrenue
Difficile de lutter contre soi
Le pire ennemi rencontré reste moi
Loïc ROUSSELOT
Oui, oui je suis d’accord, je suis perdu
Sur les chemins des jardins suspendus
En chimères qui mènent à Babylone
Grand Dieu ! C’est normal avec trop d’alcool
Car en toute évidence je n’ai rien vu
Navigant sur le grand océan inconnu
Miroir d’une misérable vie convenue
Où glisse la brume, fine, froide et imprévue
Oui, oui je suis d’accord, Je suis foutu
Sur la fumée d’une cigarette qui me tue
Mes folles pensées brulent mes lèvres
Murmurant les mystères de mes rêves
Car en toute évidence je n’ai rien entendu
Les jours où dressée sur la haute crête
Tu me dis…Mon amour, s’il te plaît…Arrête !
L’anecdote de l’incohérence est saugrenue
Difficile de lutter contre soi
Le pire ennemi rencontré reste moi
Loïc ROUSSELOT