( ici poème dédié à mon autre fils)
Mon petit d’homme
Je me souviens presque d’autans ;
Mon ange est devenu ma muse
Ce petit bout tant il m’amuse
Treize ans, file vers quatorze ans.
Il m’offre, des jours comme encensMon petit d’homme
Je me souviens presque d’autans ;
Mon ange est devenu ma muse
Ce petit bout tant il m’amuse
Treize ans, file vers quatorze ans.
S’exercent. Dans mon âme fuse
L’amour maternel qui ne s’use
Ai-je des temps incandescents ?
Il est comme de l’eau bien vive
La mer de ma pensée active
Dès Lors mon inspiration
Il m’offre un instant en tendresse
Son heure d’occupation
Un câlin dont reste l’ivresse.
Maria-Dolores
L’amour maternel qui ne s’use
Ai-je des temps incandescents ?
Il est comme de l’eau bien vive
La mer de ma pensée active
Dès Lors mon inspiration
Il m’offre un instant en tendresse
Son heure d’occupation
Un câlin dont reste l’ivresse.
Maria-Dolores