Ne lâche pas ma main mon Grand Ami,
Restes pas trop loin, mon Petit Amour,
Ne brises pas notre lien, mon Grand Ami,
Ce ne sera que chagrin, mon Petit Amour.
Te souviens-tu de cette nuit,
Où nos mots se sont réunis ?
Il était si tard, c'était l'été,
Et pourtant, l'aube nous a rattrapé !
Tu me disais des mots, des mots de tous les jours,
En moi, ils demeurent toujours,
Tu sais, Mon Petit Amour.
Et nos nuits, nos jours se sont succédés,
Nous avons tissé notre toile,
Où tout était bien dessiné,
Nous avions notre Etoile.
Eloignés l'un de l'autre, nous regardions l'horizon,
Mais nous étions à l'unisson,
De nos paroles nous nous étonnions,
Car nous avions toujours la même version.
Jamais nous ne nous sommes touchés,
Jamais nous n'avons marché ensemble,
Tous nos mots sur écran se sont déroulés,
Mais comme nous étions heureux de nous retrouver !
J'étais près de toi, quand tu avais besoin mon Petit Amour,
Jamais je ne t'aurai lâché la main, mon Grand Ami,
Quand tu ressentais du chagrin, mon Petit Amour,
Tu avais mon soutien, mon Grand Ami.
Tu me parlais sans relâche,
Lorsque mon coeur faisait tâche,
J'écoutais tes messages, emplis de sagesse,
Et peu à peu se dissipait ma détresse.
Aujourd'hui au bord de l'abîme, mon Grand Ami,
Tu ne réponds à mes appels, mon Petit Amour,
Mes mots restent sans rime, mon Grand Ami,
Je les amasse à la pelle, mon Grand Amour.
Notre amitié au gré des jours,
S'était forcie pour toujours
Je le croyais sans détour,
Je t'en prie, ne me joue pas des tours.
Tu es mon Grand Ami,
Tu es mon Petit Amour,
Je pleure tous nos mots écrits,
Je me sens seule pour toujours.
Dis moi, mon Grand Ami,
Souffle moi, mon Petit Amour,
Que tout n'est pas fini,
Que sur l'écran, nous nous relirons un jour...
Même ces mots déposés ne soulageront mon chagrin,
Et je ne sais si tu es mon Grand Ami ou mon Petit Amour.
Restes pas trop loin, mon Petit Amour,
Ne brises pas notre lien, mon Grand Ami,
Ce ne sera que chagrin, mon Petit Amour.
Te souviens-tu de cette nuit,
Où nos mots se sont réunis ?
Il était si tard, c'était l'été,
Et pourtant, l'aube nous a rattrapé !
Tu me disais des mots, des mots de tous les jours,
En moi, ils demeurent toujours,
Tu sais, Mon Petit Amour.
Et nos nuits, nos jours se sont succédés,
Nous avons tissé notre toile,
Où tout était bien dessiné,
Nous avions notre Etoile.
Eloignés l'un de l'autre, nous regardions l'horizon,
Mais nous étions à l'unisson,
De nos paroles nous nous étonnions,
Car nous avions toujours la même version.
Jamais nous ne nous sommes touchés,
Jamais nous n'avons marché ensemble,
Tous nos mots sur écran se sont déroulés,
Mais comme nous étions heureux de nous retrouver !
J'étais près de toi, quand tu avais besoin mon Petit Amour,
Jamais je ne t'aurai lâché la main, mon Grand Ami,
Quand tu ressentais du chagrin, mon Petit Amour,
Tu avais mon soutien, mon Grand Ami.
Tu me parlais sans relâche,
Lorsque mon coeur faisait tâche,
J'écoutais tes messages, emplis de sagesse,
Et peu à peu se dissipait ma détresse.
Aujourd'hui au bord de l'abîme, mon Grand Ami,
Tu ne réponds à mes appels, mon Petit Amour,
Mes mots restent sans rime, mon Grand Ami,
Je les amasse à la pelle, mon Grand Amour.
Notre amitié au gré des jours,
S'était forcie pour toujours
Je le croyais sans détour,
Je t'en prie, ne me joue pas des tours.
Tu es mon Grand Ami,
Tu es mon Petit Amour,
Je pleure tous nos mots écrits,
Je me sens seule pour toujours.
Dis moi, mon Grand Ami,
Souffle moi, mon Petit Amour,
Que tout n'est pas fini,
Que sur l'écran, nous nous relirons un jour...
Même ces mots déposés ne soulageront mon chagrin,
Et je ne sais si tu es mon Grand Ami ou mon Petit Amour.