J’aurai aimé avoir une personne a qui me confier,
Mais malheureusement j’étais l’ainé,
Donc le seul, personne a qui parler,
Personne avec qui m’amuser, me chamailler,
Ce manque ma toucher, blessé puis désailé,
J’ai fini par tomber mais pas le choix j’ai du me relever,
Et me faire a cette idée.
Si tu savais le nombre de fois que j’ai rêvé de toi,
D’entendre ta voix,
De partager tes rêves, ta vie, tes joies,
Mais je n’ai pas eu le choix,
Tu n’as jamais existé et tu n’existeras jamais !
Malheureusement tu continueras à hanter mes rêves,
Et moi je continuerai à t’admirer et secret !