Mon couffin pictural
J’aimerai habiter dans ce coin de verdure
Au sein d’un liseron illuminant mes heures
Au creux de ma chimère en ce coin de nature
Symbolisant pour moi les trésors de mon cœur.
Dans un silence pur je fable de ma plume
Un récit honorant les vertus de Saturne
Qui grime sur la Terre un égaiement posthume
Lorsque je périrai dans ce vert de fortune
En t’ayant adopté palette d’immersion
En versification pour glorifier ton nom.
Un pan de léthargie berce mes sensations
En caressant ma peau happant mon abandon
Dans le pensif tumulte où j’aime m’adonner
Au sein de cette chaume abritant mes espoirs
Dans ces limpides eaux venant me ressourcer.
Cette aquarelle exprime un songe saltatoire
Une étoile idéale où je souhaite construire
Au soubresaut du cœur ma pierreuse bâtisse
Au pied d’une cascade afin de m’évanouir
Dans un ru mélodieux pour ne pas que tarisse
Cette ode naturelle en dénotant ma vie
D’un ostensible flot au seuil d’un firmament.
Je voudrais m’endormir dans tes bras d’élégie
Et ne plus en partir pour graver mon roman
Toi qui depuis toujours conserve mon futur
Où je veux m’éveiller sous le vol des oiseaux
Et égayer mes jours sous ta saine écriture.
L’encre se répandrait prêt à conter les sceaux
Sous les yeux avertis d’un papillon rythmant
D’un battement civil les temps de ma gaité.
Ce monde montagneux au mystère édifiant
Calligraphie l’en-tête en un fluide boisé
Du chapitre narré au tons immémoriaux
Que m’offre cet Eden depuis sa découverte
Pour pouvoir atteler mes débuts sidéraux.
J’aspire à m’associer avec cette desserte
Cet air revigorant d’un spectacle infini
Qui imprègne ma vue en quotidiens parfums
Ce délectable arôme égrenant sa magie
Extrait intemporel d’un fabuleux destin.
Oiseau Lyre.
J’aimerai habiter dans ce coin de verdure
Au sein d’un liseron illuminant mes heures
Au creux de ma chimère en ce coin de nature
Symbolisant pour moi les trésors de mon cœur.
Dans un silence pur je fable de ma plume
Un récit honorant les vertus de Saturne
Qui grime sur la Terre un égaiement posthume
Lorsque je périrai dans ce vert de fortune
En t’ayant adopté palette d’immersion
En versification pour glorifier ton nom.
Un pan de léthargie berce mes sensations
En caressant ma peau happant mon abandon
Dans le pensif tumulte où j’aime m’adonner
Au sein de cette chaume abritant mes espoirs
Dans ces limpides eaux venant me ressourcer.
Cette aquarelle exprime un songe saltatoire
Une étoile idéale où je souhaite construire
Au soubresaut du cœur ma pierreuse bâtisse
Au pied d’une cascade afin de m’évanouir
Dans un ru mélodieux pour ne pas que tarisse
Cette ode naturelle en dénotant ma vie
D’un ostensible flot au seuil d’un firmament.
Je voudrais m’endormir dans tes bras d’élégie
Et ne plus en partir pour graver mon roman
Toi qui depuis toujours conserve mon futur
Où je veux m’éveiller sous le vol des oiseaux
Et égayer mes jours sous ta saine écriture.
L’encre se répandrait prêt à conter les sceaux
Sous les yeux avertis d’un papillon rythmant
D’un battement civil les temps de ma gaité.
Ce monde montagneux au mystère édifiant
Calligraphie l’en-tête en un fluide boisé
Du chapitre narré au tons immémoriaux
Que m’offre cet Eden depuis sa découverte
Pour pouvoir atteler mes débuts sidéraux.
J’aspire à m’associer avec cette desserte
Cet air revigorant d’un spectacle infini
Qui imprègne ma vue en quotidiens parfums
Ce délectable arôme égrenant sa magie
Extrait intemporel d’un fabuleux destin.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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