Mon Coeur Souffre....
Alors que dans le rue je ne fais que passer,
Tel une lame dans mon âme, mon coeur s'est arrêté,
Sur le coup mon corps s'immobilise et s'effondre,
On m'avait prévenu, et me voilà bientôt dans la tombe,
Un groupe de personne se dirige vers mon corps inerte,
Soudain je sens une main se posant sur ma tête.
Une petite fille pleure, croyant que je suis mort,
Je crache ce sang puis dit : " Pas encore !!!! "
Je ne peut plus bouger, mes muscles sont parallysaient,
Un homme me tient la main, " Une ambulance va arrivé ! ",
Mais je le sais, se sera trop tard, mon coeur ne bat déjà plus,
Et je le sens que s'est fini, je deviens un ange déchu.
Mon coeur se met à saigné, et mon corps a sué,
Une sirène se fait entendre, à mes côtés,
Une femme sert ma main et me demande mon prénom,
Je ne peut plus réponde, devant moi s'efface l'horizont,
Tout se met à tourner autour de moi,
Et me voilà encore une fois dans le coma.
Deux semaines plutard, je me réveille à l'hopitale,
Me tenant la main, ma mère est en larme,
Un médecin me dit que cette crise aurait peu m'être fatale,
Et je prend conscience que j'ai fallï perdre mon âme.
Atteint d'une grave maladie de coeur, je ne peut plus vivre,
De jours en jours, je ne fait que survivre,
Je prend des risques inutiles qui peuvent me tuer,
Mais personnes ne comprend que je ne peux pas rester.
Si je devais être assis du matin jusqu'au soir,
Mon existence serait alors un vraritable cauchemar,
Laissez moi vivre comme je le veux,
Et si je crêve, alors tant mieux !
D'autre veulent mourir, alors que la vie leur est permis,
Moi, je voudrais vivre, mais à la mort je suis soumis,
Vous lecteurs qui lisez ce poême,
Pensez - vous que j'ai tord de vouloir me libérer de toute ces chaînes ?
Alors que dans le rue je ne fais que passer,
Tel une lame dans mon âme, mon coeur s'est arrêté,
Sur le coup mon corps s'immobilise et s'effondre,
On m'avait prévenu, et me voilà bientôt dans la tombe,
Un groupe de personne se dirige vers mon corps inerte,
Soudain je sens une main se posant sur ma tête.
Une petite fille pleure, croyant que je suis mort,
Je crache ce sang puis dit : " Pas encore !!!! "
Je ne peut plus bouger, mes muscles sont parallysaient,
Un homme me tient la main, " Une ambulance va arrivé ! ",
Mais je le sais, se sera trop tard, mon coeur ne bat déjà plus,
Et je le sens que s'est fini, je deviens un ange déchu.
Mon coeur se met à saigné, et mon corps a sué,
Une sirène se fait entendre, à mes côtés,
Une femme sert ma main et me demande mon prénom,
Je ne peut plus réponde, devant moi s'efface l'horizont,
Tout se met à tourner autour de moi,
Et me voilà encore une fois dans le coma.
Deux semaines plutard, je me réveille à l'hopitale,
Me tenant la main, ma mère est en larme,
Un médecin me dit que cette crise aurait peu m'être fatale,
Et je prend conscience que j'ai fallï perdre mon âme.
Atteint d'une grave maladie de coeur, je ne peut plus vivre,
De jours en jours, je ne fait que survivre,
Je prend des risques inutiles qui peuvent me tuer,
Mais personnes ne comprend que je ne peux pas rester.
Si je devais être assis du matin jusqu'au soir,
Mon existence serait alors un vraritable cauchemar,
Laissez moi vivre comme je le veux,
Et si je crêve, alors tant mieux !
D'autre veulent mourir, alors que la vie leur est permis,
Moi, je voudrais vivre, mais à la mort je suis soumis,
Vous lecteurs qui lisez ce poême,
Pensez - vous que j'ai tord de vouloir me libérer de toute ces chaînes ?
