Je crois que je conçois mal la vie.
Mais je n'ai plus rien à créer que de l'écrit.
Les subterfuges m'ennuient.
Le réel m'apparaît surfait et impitoyable,
Pour ceux qui rentrent dans la dance.
Je trouve la réalité effroyable,
Eveillé, le jour est une souffrance.
Je les vois, ceux qui s'enfuient.
La nuit je rêve de mes lacets.
Ridicule, mais bien plus gai.
J'enlace mon boxer, à mes côtés,
On s'endors à deux, maelstrom,
son tour, je ronfle, tu relâche tes fétides atomes,
Cette odeur de souffre me fut dur à tolérer.
Je dois dire que l'œuf pourri, pour somnoler,
C'est pas terrible, mais je comprend ta souffrance,
Que du chimique en plâtre ou tu fais doléance,
Je t'aime mon chien mais quand on dort,
Sois c'est smecta, sinon tu met l'cul dehors.
Mais je n'ai plus rien à créer que de l'écrit.
Les subterfuges m'ennuient.
Le réel m'apparaît surfait et impitoyable,
Pour ceux qui rentrent dans la dance.
Je trouve la réalité effroyable,
Eveillé, le jour est une souffrance.
Je les vois, ceux qui s'enfuient.
La nuit je rêve de mes lacets.
Ridicule, mais bien plus gai.
J'enlace mon boxer, à mes côtés,
On s'endors à deux, maelstrom,
son tour, je ronfle, tu relâche tes fétides atomes,
Cette odeur de souffre me fut dur à tolérer.
Je dois dire que l'œuf pourri, pour somnoler,
C'est pas terrible, mais je comprend ta souffrance,
Que du chimique en plâtre ou tu fais doléance,
Je t'aime mon chien mais quand on dort,
Sois c'est smecta, sinon tu met l'cul dehors.
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