Mon bel été
Auvergne des volcans enchantant les sentiers
Tes humus aux verts tendres de fontaines en torrents
Tissent aux pastels pigments les livres du métier
Comme l'oeuvre gracieuse du ciel de Michel Ange
Jamais fraise des bois n'a coulé plus sucrée
Qu'en la chair au jus rouge de l'été qui ressource
Ô rivières où les mousses vibrent l'humus poudrés
Les cloches de tes cours sonnent l'onde des sources
C'est bien à Saint Nectaire que nous fûmes égéries
L'école prestigieuse a des nuits de folies
Des défilés sur table sans doute dû aux crus
La déontologie d'amour choisit son lit
Sur les galons des Femmes qui savamment sourient
Aux promotions marchant sur tous les canapés
Paule
Sonnet libre