J’ai vu en toi mon double, mon évidence.
Baissé les armes, m’offrant à toi sans défenses.
Tu as révélé, réveillé, brûlé tous mes sens.
Fait de mon enfer un paradis, le temps d’une danse.
L’amour naît pas, seule est passée une sensuelle attirance.
Dans tes yeux, j’ai cru voir toute ma délivrance.
Et j’ai plongé dans cet océan, ce bleu intense.
Sans écouter ton conseil de vivre sans attente notre errance.
J’ai vécu tous nos moments avec insouciance.
Mon cœur quand à lui a accéléré la cadence.
Comment ne pas tomber amoureux de toi, de ton aura, de ta présence.
J’aurais aimé profiter sans te montrer mes larmes, avec aisance.
Mais tu m’as submergé, envahi, libéré de mon accoutumance.
Pris cette place, qui maintenant souffre de ton absence.
Et je dois m’habituer sans faire de bruit à tous tes silences.
Et ne pas penser à cette homme à qui tu as donné toutes ses chances...
Baissé les armes, m’offrant à toi sans défenses.
Tu as révélé, réveillé, brûlé tous mes sens.
Fait de mon enfer un paradis, le temps d’une danse.
L’amour naît pas, seule est passée une sensuelle attirance.
Dans tes yeux, j’ai cru voir toute ma délivrance.
Et j’ai plongé dans cet océan, ce bleu intense.
Sans écouter ton conseil de vivre sans attente notre errance.
J’ai vécu tous nos moments avec insouciance.
Mon cœur quand à lui a accéléré la cadence.
Comment ne pas tomber amoureux de toi, de ton aura, de ta présence.
J’aurais aimé profiter sans te montrer mes larmes, avec aisance.
Mais tu m’as submergé, envahi, libéré de mon accoutumance.
Pris cette place, qui maintenant souffre de ton absence.
Et je dois m’habituer sans faire de bruit à tous tes silences.
Et ne pas penser à cette homme à qui tu as donné toutes ses chances...