Miracle de la nature tu es amour
Par un temps merveilleux
J’entrevois une silhouette amoureuse
Qui y a-t-il de plus généreux
Que ton sourire à l’affection hargneuse ?
Je suis épris de ton regard
J’aime m’y perdre surtout lorsqu’il se fait tard ;
Je me demande si t’as peur du noir,
Car tu scintille comme le reflet du soleil dans un miroir.
Y aurait-il un endroit précis
Où mon amour serait pour toute la vie ?
Une existence, où mes craintes seraient vaines ?
Te le demander me fait mal, je dois dire cela me gêne,
Et mon cœur soupir se disant « je veux qu’elle soit mienne »
Involontairement je suis condamné par ton charisme
Ne demande pas pourquoi je reflète le romantisme ;
Gère-moi comme tu le fais avec ton être
Regardant mon cœur, sculptant mon paraitre.
Irréversiblement je me sens amoureux de toi
Dans ce monde où la haine et le vice s’inspirent de moi.
Aime-moi, car moi je t’aime
Ne m’abandonne pas, même si parfois je gène
On dit parait-il dans la vie celui ou celle qui aime
A un domicile spirituel construit par le très haut sur une plaine.
Par un temps merveilleux
J’entrevois une silhouette amoureuse
Qui y a-t-il de plus généreux
Que ton sourire à l’affection hargneuse ?
Je suis épris de ton regard
J’aime m’y perdre surtout lorsqu’il se fait tard ;
Je me demande si t’as peur du noir,
Car tu scintille comme le reflet du soleil dans un miroir.
Y aurait-il un endroit précis
Où mon amour serait pour toute la vie ?
Une existence, où mes craintes seraient vaines ?
Te le demander me fait mal, je dois dire cela me gêne,
Et mon cœur soupir se disant « je veux qu’elle soit mienne »
Involontairement je suis condamné par ton charisme
Ne demande pas pourquoi je reflète le romantisme ;
Gère-moi comme tu le fais avec ton être
Regardant mon cœur, sculptant mon paraitre.
Irréversiblement je me sens amoureux de toi
Dans ce monde où la haine et le vice s’inspirent de moi.
Aime-moi, car moi je t’aime
Ne m’abandonne pas, même si parfois je gène
On dit parait-il dans la vie celui ou celle qui aime
A un domicile spirituel construit par le très haut sur une plaine.
