Lorsque le printemps apparaît,
Je me sens renaître.
Tel un bourgeon, mon coeur s'ouvre
Et toute la Beauté je redécouvre
Qui, de plus en plus belle, ne cesse de me paraître.
Je suis alors pleine d'espoir
De voir ,un jour ou peut-être un soir,
Mes rêves enfin se concrétiser.
Quand vient l'été, s'exaltent mes sens.
Sous ces chaleurs torrides, je rêve d'indécence
Et me laisse aller à ces doux plaisirs
Que seul l'été peut m'offrir.
Je découvre le paroxysme de la Beauté
Et cette floraison estivale si désirée.
En automne, tombent les feuilles
Telles que mes larmes sur mes joues coulent.
La belle saison est déjà loin.
De l'été, je fais le deuil.
De plus en plus, je m'écroule.
Et ne peux contenir ce lourd chagrin.
L'hiver me guette et m'assaille.
Je ne peux le supporter
Tant la douleur est grande.
Je ne suis que néant dans ce temps infernal
Dont le froid pénètre jusqu'au fond de mes entrailles.
Peu à peu, je viens à m'épuiser
Tant la froideur est brutale.
Que mon corps meurtri se rende!
A l'arrivée des beaux jours,
Je réapparaîtrais enfin épanouie
Jusqu'à, de nouveau faiblir petit à petit.
Toutes ces éphémères métamorphosess'enchaîneront toujours
Je me sens renaître.
Tel un bourgeon, mon coeur s'ouvre
Et toute la Beauté je redécouvre
Qui, de plus en plus belle, ne cesse de me paraître.
Je suis alors pleine d'espoir
De voir ,un jour ou peut-être un soir,
Mes rêves enfin se concrétiser.
Quand vient l'été, s'exaltent mes sens.
Sous ces chaleurs torrides, je rêve d'indécence
Et me laisse aller à ces doux plaisirs
Que seul l'été peut m'offrir.
Je découvre le paroxysme de la Beauté
Et cette floraison estivale si désirée.
En automne, tombent les feuilles
Telles que mes larmes sur mes joues coulent.
La belle saison est déjà loin.
De l'été, je fais le deuil.
De plus en plus, je m'écroule.
Et ne peux contenir ce lourd chagrin.
L'hiver me guette et m'assaille.
Je ne peux le supporter
Tant la douleur est grande.
Je ne suis que néant dans ce temps infernal
Dont le froid pénètre jusqu'au fond de mes entrailles.
Peu à peu, je viens à m'épuiser
Tant la froideur est brutale.
Que mon corps meurtri se rende!
A l'arrivée des beaux jours,
Je réapparaîtrais enfin épanouie
Jusqu'à, de nouveau faiblir petit à petit.
Toutes ces éphémères métamorphosess'enchaîneront toujours