On m'a dit un jour, que les mots peuvent faire mal,
Assemblages compliqués qui se transforment en phrases,
On y met ses envies, ses besoins, son désir d'être en phase,
C'est jamais très facile, quand tout nous est égal,
De savoir rester aimable, de penser un peu aux gens,
Quand la facilité, de trouver à chaque instant,
Le tact et la décence, de partager quelques syllabes,
Echappent totalement, à l'un des participants,
Comme c'est le cas souvent, pour moi, la pince de crabe,
On m'a dit un jour, que les phrases peuvent faire mal,
Assemblages compliqués, d'idées et de sentiments,
On y parle du passé,du futur, de l'instant présent,
C'est jamais très facile, quand tout nous est égal,
De se dire à chaque instant, qu'on est pas seul à converser,
Quand la difficulté, c'est de s'arrêter et d'écouter les gens,
Leurs envies, leurs besoins, de partager quelques pensées,
Echappe totalement, à l'un des participants,
Comme c'est toujours le cas, pour moi, le mécréant,
On m'avait dit aussi, que j'aurais beau être fort,
Dans mes bras, dans ma tête, et même de tout mon corps,
Si je continuais, mon monologue glissant, amer et inconsistant,
Pour tout remerciement, je n'aurais que le silence, l'isolement,
Ce sage avait raison, il voulait m'éclairer, me guider,
Et dans mes élucubrations, sur le bien de mes pensées,
Je n'ai pas écouté, je n'ai pas changé, pas évolué,
Grand sage plein de bon sens, aujourd'hui je comprends,
Mais n'est ce pas trop tard? Je suis seul à présent,
Avec mes monologues vaseux, fades et insipides,
Seul avec mes pensées, qui soudain me paraissent vides
Assemblages compliqués qui se transforment en phrases,
On y met ses envies, ses besoins, son désir d'être en phase,
C'est jamais très facile, quand tout nous est égal,
De savoir rester aimable, de penser un peu aux gens,
Quand la facilité, de trouver à chaque instant,
Le tact et la décence, de partager quelques syllabes,
Echappent totalement, à l'un des participants,
Comme c'est le cas souvent, pour moi, la pince de crabe,
On m'a dit un jour, que les phrases peuvent faire mal,
Assemblages compliqués, d'idées et de sentiments,
On y parle du passé,du futur, de l'instant présent,
C'est jamais très facile, quand tout nous est égal,
De se dire à chaque instant, qu'on est pas seul à converser,
Quand la difficulté, c'est de s'arrêter et d'écouter les gens,
Leurs envies, leurs besoins, de partager quelques pensées,
Echappe totalement, à l'un des participants,
Comme c'est toujours le cas, pour moi, le mécréant,
On m'avait dit aussi, que j'aurais beau être fort,
Dans mes bras, dans ma tête, et même de tout mon corps,
Si je continuais, mon monologue glissant, amer et inconsistant,
Pour tout remerciement, je n'aurais que le silence, l'isolement,
Ce sage avait raison, il voulait m'éclairer, me guider,
Et dans mes élucubrations, sur le bien de mes pensées,
Je n'ai pas écouté, je n'ai pas changé, pas évolué,
Grand sage plein de bon sens, aujourd'hui je comprends,
Mais n'est ce pas trop tard? Je suis seul à présent,
Avec mes monologues vaseux, fades et insipides,
Seul avec mes pensées, qui soudain me paraissent vides
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