les févriers
Mère
Mère tu vois les févriers sont de retours
Mais ,présente dans mon coeur,tu es pour
L'éternité tout ce qui nous sépare ,
De tant et tant,d'amour ,que tu repart ,
Dans cet univers inconnu ,ou ,en présence de Père
Tu nous regarde , mes frères
Et moi ,vieillir à notre tour ,cheveux gris
Dans la pâleur ,de ces jours de février ,pris
Dans cette tournante ,Mère ,je me souviens
De tes douces étreintes contre ton coeur ,serein ,
De-tes mains si douces ,calmer ,nos peurs
Et apaiser nos pleures
Mère ,ton anniversaire ,les feuilles n'amoncelles
Et le jardin n'est plus ,seule la croix en sentinelle
Veille ,et rappel la ravissante dame
Aux bras de Père ,vous étiez dame
Je le confesse ,fier de vous voir
Le dimanche promenades enchantes, les bords de loire
Mère je vous aime encore et toujours
Et que Père vous courtise toujours
malgres les ans ,,,,votre fils qui vous aime tant,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,guy
Mère
Mère tu vois les févriers sont de retours
Mais ,présente dans mon coeur,tu es pour
L'éternité tout ce qui nous sépare ,
De tant et tant,d'amour ,que tu repart ,
Dans cet univers inconnu ,ou ,en présence de Père
Tu nous regarde , mes frères
Et moi ,vieillir à notre tour ,cheveux gris
Dans la pâleur ,de ces jours de février ,pris
Dans cette tournante ,Mère ,je me souviens
De tes douces étreintes contre ton coeur ,serein ,
De-tes mains si douces ,calmer ,nos peurs
Et apaiser nos pleures
Mère ,ton anniversaire ,les feuilles n'amoncelles
Et le jardin n'est plus ,seule la croix en sentinelle
Veille ,et rappel la ravissante dame
Aux bras de Père ,vous étiez dame
Je le confesse ,fier de vous voir
Le dimanche promenades enchantes, les bords de loire
Mère je vous aime encore et toujours
Et que Père vous courtise toujours
malgres les ans ,,,,votre fils qui vous aime tant,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,guy