MAGIQUE FORET D’AUTOMNE
Pour changer d’atmosphère,
Déguster un grand bol d’air,
Viens avec moi, à l’orée du bois,
Dés l’aurore, quand le soleil flamboie.
Comme Eole, si j’étais le vent,
Forêt de Fontainebleau où de Barbizon,
Je te dirais tout simplement,
Que tu es charmante en toute saison.
Je soufflerai tout doucement,
Pour ne pas te déshabiller.
Tu as revêtu ta robe d’automne,
Et mon cœur est bien monotone,
De te savoir si dénudée.
Tes feuilles dorées tourbillonnent,
Dessinant dans le ciel des boucles d’or,
Ta robe d’ébène brille sous le soleil,
Palissant, quand tôt le matin,
Dans la rosée, tu t’éveilles encore.
Ta terre fleure bon l’humus,
Qui annonce les premiers frimas de l’hiver,
Comme au temps de nos grand-mères.
Généreuses, comme elles,
Tu nous offres de douces choses,
Afin de patienter jusqu’aux premiers crocus,
Tes noisettes et tes châtaignes.
Dans les ruisseaux grouillent des musaraignes,
Les enfants aux joues roses,
Succombent à leurs caprices,
Quand dans leurs paniers, fleurissent,
Des mélanges de champignons et de marrons,
Qui comme jadis, délicatement parfumeront,
Nos campagnes, nos forêts et nos maisons,
Jusqu’au prochain printemps.
Tu te reposes sur ton sol jauni,
Nous offrant de nouvelles envies.
Pour changer d’atmosphère,
Déguster un grand bol d’air,
Viens avec moi, à l’orée du bois,
Dés l’aurore, quand le soleil flamboie.
Comme Eole, si j’étais le vent,
Forêt de Fontainebleau où de Barbizon,
Je te dirais tout simplement,
Que tu es charmante en toute saison.
Je soufflerai tout doucement,
Pour ne pas te déshabiller.
Tu as revêtu ta robe d’automne,
Et mon cœur est bien monotone,
De te savoir si dénudée.
Tes feuilles dorées tourbillonnent,
Dessinant dans le ciel des boucles d’or,
Ta robe d’ébène brille sous le soleil,
Palissant, quand tôt le matin,
Dans la rosée, tu t’éveilles encore.
Ta terre fleure bon l’humus,
Qui annonce les premiers frimas de l’hiver,
Comme au temps de nos grand-mères.
Généreuses, comme elles,
Tu nous offres de douces choses,
Afin de patienter jusqu’aux premiers crocus,
Tes noisettes et tes châtaignes.
Dans les ruisseaux grouillent des musaraignes,
Les enfants aux joues roses,
Succombent à leurs caprices,
Quand dans leurs paniers, fleurissent,
Des mélanges de champignons et de marrons,
Qui comme jadis, délicatement parfumeront,
Nos campagnes, nos forêts et nos maisons,
Jusqu’au prochain printemps.
Tu te reposes sur ton sol jauni,
Nous offrant de nouvelles envies.