Madame
Je pensais voir la lumière
Mais ne se dresse que misère
Pourtant face à la mer
Je n’imaginais pas cet hiver
Je pense à vous Madame…
Alors doucement je me plonge
Aux plus profonds des songes
Me laissant la liberté de rêver
Que ce cauchemar soit achevé
Vous êtes rivière Madame
C’est ton sein que me sauve
De cette folle absurdité chauve
Que je tête avec gourmandise
Aimant cette chaude friandise
Je suis à vous Madame
J’entrevois la lumière
Là, au fond, en chimères
L’enfance naît de ta chair
Oh ! Madame ! Comme tu m’es chère
Vous me manquez Madame
Loïc ROUSSELOT
Je pensais voir la lumière
Mais ne se dresse que misère
Pourtant face à la mer
Je n’imaginais pas cet hiver
Je pense à vous Madame…
Alors doucement je me plonge
Aux plus profonds des songes
Me laissant la liberté de rêver
Que ce cauchemar soit achevé
Vous êtes rivière Madame
C’est ton sein que me sauve
De cette folle absurdité chauve
Que je tête avec gourmandise
Aimant cette chaude friandise
Je suis à vous Madame
J’entrevois la lumière
Là, au fond, en chimères
L’enfance naît de ta chair
Oh ! Madame ! Comme tu m’es chère
Vous me manquez Madame
Loïc ROUSSELOT