Ici, c'est un monde singulier, fait de peine et d'erreurs
Un monde où aucun être n'est dit inférieur
Le bonheur et ses amours sont partis depuis longtemps
Mais les cauchemars eux, prennent leurs temps
La vie des hommes se résume à un plan quotidien
Et chacun se donne ensemble un coup de main
Les doutes prolifèrent dans leurs idées
Mais ils restent nobles et font tout pour s'aider
Rien n'est plus pareil depuis bien des années
Les femmes pleurent et les hommes trainent des pieds
Ils sont sous l'influence d'un roi qui ne récolte rien
Il est allié de la détresse et de la perte de biens
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie, de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
Elle, ce dit royaume de l'égalité, avance six pieds sous terre
Et j'aimerais que la joie en ce lieu prolifère
Ce ne sera pas chose aisée, j'en ai conscience
Il y a des problèmes partout, et dans tous les sens
Alors je relativise la moindre émotion
Car elles peuvent être bonnes ou pleines de tension
Ma victoire réside en le fait d'y croire
Et c'est donc l'espoir qui dirige mes histoires
Ce sont des aventures qui respirent l'énergie
Une énergie positive qui s'échappe de ma vie
Elle s'en va sans crier garde, alors que je m'endors
"Je vais les aider" me dit-elle "reste fort"
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
L'énergie, malgré le vent, poursuit son voyage
Et vole au dessus de sublimes paysages
Alors arrive les terres arrides, et des hommes crient
Elle se pose à leurs pieds et leur dicte mes écrits
Les hommes retrouvent alors un sourire qu'ils croyaient enterré
Un bonheur si simple ici n'est pas trop demandé
Cette esquisse en dit long, la misère rend fort
Mais de nombreux cas montrent un monde sans ressorts
Les hommes repartent chercher leurs familles
Ils partiront tous loin, amenant fils et filles
Leur voyage aura un goût unique et inattendu
Et la fierté restera leur plus grande étendue
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
Ces derniers couplets feront figure de conclusion
Et finiront ce poème, écrit avec passion
Un ultime refrain rendra un vibrant hommage
Aux croyances qui traversent les âges
Mais pour l'instant je parle d'eux, sur leur barque échouée
Un courant venue de l'Est les a ramené à la réalité
Ils peuvent se battre, mais sans vraies armes
Aucun peuple ne lutter sans larmes
Alors ils rentrent chez eux, retrouvent une vie sans vraie saveur
Un bonheur est éphémère, cette phrase est gravée dans leurs coeurs
J'ai envie de leur dire qu'ils ont tort, que la vie est belle
Mais que voulez-vous, on leur donne une image virtuelle
Pendant que certains hommes vivent loin de leurs pères
Des croyances s'essouflent, et la chance désespère
Leurs coeurs ne tiennent plus, ils n'en font qu'à leurs têtes
Et troublent une nouvelle fois ma vraie planète...
Un monde où aucun être n'est dit inférieur
Le bonheur et ses amours sont partis depuis longtemps
Mais les cauchemars eux, prennent leurs temps
La vie des hommes se résume à un plan quotidien
Et chacun se donne ensemble un coup de main
Les doutes prolifèrent dans leurs idées
Mais ils restent nobles et font tout pour s'aider
Rien n'est plus pareil depuis bien des années
Les femmes pleurent et les hommes trainent des pieds
Ils sont sous l'influence d'un roi qui ne récolte rien
Il est allié de la détresse et de la perte de biens
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie, de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
Elle, ce dit royaume de l'égalité, avance six pieds sous terre
Et j'aimerais que la joie en ce lieu prolifère
Ce ne sera pas chose aisée, j'en ai conscience
Il y a des problèmes partout, et dans tous les sens
Alors je relativise la moindre émotion
Car elles peuvent être bonnes ou pleines de tension
Ma victoire réside en le fait d'y croire
Et c'est donc l'espoir qui dirige mes histoires
Ce sont des aventures qui respirent l'énergie
Une énergie positive qui s'échappe de ma vie
Elle s'en va sans crier garde, alors que je m'endors
"Je vais les aider" me dit-elle "reste fort"
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
L'énergie, malgré le vent, poursuit son voyage
Et vole au dessus de sublimes paysages
Alors arrive les terres arrides, et des hommes crient
Elle se pose à leurs pieds et leur dicte mes écrits
Les hommes retrouvent alors un sourire qu'ils croyaient enterré
Un bonheur si simple ici n'est pas trop demandé
Cette esquisse en dit long, la misère rend fort
Mais de nombreux cas montrent un monde sans ressorts
Les hommes repartent chercher leurs familles
Ils partiront tous loin, amenant fils et filles
Leur voyage aura un goût unique et inattendu
Et la fierté restera leur plus grande étendue
Pendant que certains mondes vivent les pires calvaires
D'autres naviguent en harmonie de l'autre côté de l'hémisphère
Leur bonheur est régulier, leur vie est une fête
Mais ces différences troublent ma vraie planète
Ces derniers couplets feront figure de conclusion
Et finiront ce poème, écrit avec passion
Un ultime refrain rendra un vibrant hommage
Aux croyances qui traversent les âges
Mais pour l'instant je parle d'eux, sur leur barque échouée
Un courant venue de l'Est les a ramené à la réalité
Ils peuvent se battre, mais sans vraies armes
Aucun peuple ne lutter sans larmes
Alors ils rentrent chez eux, retrouvent une vie sans vraie saveur
Un bonheur est éphémère, cette phrase est gravée dans leurs coeurs
J'ai envie de leur dire qu'ils ont tort, que la vie est belle
Mais que voulez-vous, on leur donne une image virtuelle
Pendant que certains hommes vivent loin de leurs pères
Des croyances s'essouflent, et la chance désespère
Leurs coeurs ne tiennent plus, ils n'en font qu'à leurs têtes
Et troublent une nouvelle fois ma vraie planète...