Ma vie, c’est mon combat,
Tous les jours je galère,
Mais toujours, pour rester debout, je me bats,
C’est complètement dingue, on se croirait revenu en temps de guerre !
Tous les matins, je me lève, avec la rage au ventre,
Je n’ai plus aucune envie d’aller en cours,
Car tous les soirs, les yeux remplis de larmes, je rentre.
Les gens de là-bas, ne pensent cas me jouer de sales tours…
Je tente tant bien que mal, de tenir le coup,
Mais aujourd’hui,
Je suis seule, tout le monde est parti,
Même ceux qui disaient être mes amis !
Fort heureusement, il me reste encore ma famille,
Des proches, qui eux, ne se sont jamais enfuis, ne sont jamais partis…
Mais malgré eux, je me sens seule, tout le temps, je n’ai plus de vie…
Je prends la direction du collège à reculons,
Rien que de savoir que se soir je rentrerais en pleurant,
J’ai le moral dans les talons !
Je franchis les portes du bahut, le corps saisit de tremblements…
Les journées me semblent interminables,
La solitude m’est devenue insupportable,
Les remarques, les préjugés, les moqueries,
Tout ceci,
Pour moi, ce n’est plus une vie…
C’est très loin de mon tant désiré paradis.
Tous les midis, je mange seule, à l’écart,
Je me dépêche de tout avaler,
Je ne supporte plus les regards,
Dès que j’ai terminé, je cours dehors, pour pouvoir m’isoler.
La journée enfin achevée, je cours jusqu’à la gare…
Et alors seulement là, je reprends espoir,
Finit les insultes, les coups,
A la vie, je peux enfin pendant quelques heures reprendre goût !
Je monte dans le train,
Je prends mon courage à deux mains,
Une dernière fois j’affronte les regards de certains…
Une fois rentrée chez moi,
Je pousse un soupir de soulagement,
Un cri de joie,
Tout en sachant, que demain mon train de vie, maudit, reprend…
Tous les jours je galère,
Mais toujours, pour rester debout, je me bats,
C’est complètement dingue, on se croirait revenu en temps de guerre !
Tous les matins, je me lève, avec la rage au ventre,
Je n’ai plus aucune envie d’aller en cours,
Car tous les soirs, les yeux remplis de larmes, je rentre.
Les gens de là-bas, ne pensent cas me jouer de sales tours…
Je tente tant bien que mal, de tenir le coup,
Mais aujourd’hui,
Je suis seule, tout le monde est parti,
Même ceux qui disaient être mes amis !
Fort heureusement, il me reste encore ma famille,
Des proches, qui eux, ne se sont jamais enfuis, ne sont jamais partis…
Mais malgré eux, je me sens seule, tout le temps, je n’ai plus de vie…
Je prends la direction du collège à reculons,
Rien que de savoir que se soir je rentrerais en pleurant,
J’ai le moral dans les talons !
Je franchis les portes du bahut, le corps saisit de tremblements…
Les journées me semblent interminables,
La solitude m’est devenue insupportable,
Les remarques, les préjugés, les moqueries,
Tout ceci,
Pour moi, ce n’est plus une vie…
C’est très loin de mon tant désiré paradis.
Tous les midis, je mange seule, à l’écart,
Je me dépêche de tout avaler,
Je ne supporte plus les regards,
Dès que j’ai terminé, je cours dehors, pour pouvoir m’isoler.
La journée enfin achevée, je cours jusqu’à la gare…
Et alors seulement là, je reprends espoir,
Finit les insultes, les coups,
A la vie, je peux enfin pendant quelques heures reprendre goût !
Je monte dans le train,
Je prends mon courage à deux mains,
Une dernière fois j’affronte les regards de certains…
Une fois rentrée chez moi,
Je pousse un soupir de soulagement,
Un cri de joie,
Tout en sachant, que demain mon train de vie, maudit, reprend…