MA PROVENCE
Un pays qui je ne sais par quel lien m'attire
Dont les infinies senteurs ne font qu'éblouir...
Peut être ce sentiments de paix que dégagent
Ces prophétiques oliviers au feuillage d'argent,
Peut être cette fragrance d'antan où certain mage
Aurait déposé quelques lavandes d'encens,
Peut être le crissement incessant des cigales,
L'accent qui à mon oreille reste méconnu,
Ou bien peut être à ce ciel empli d'étoiles
Me signifiant insignifiance du méconnu...
La voie de mon avenir, de mon destin,
La percée brillante de nouveaux chemins...
Ce soleil brûlant qui effaçait mes peines
A été destitué par une clarté blafarde,
D'horribles tours cubiques parcourent mon horizon,
Les remugles, les brouhahas de la vie urbaine
Me laissent désorientée, muette, hagarde,
Percevant la pestilence fétide du poison...
Septembre 1983
Dénouement heureux: j'ai quitté Paris et demeure en Provence
depuis septembre 1988 !!!
Un pays qui je ne sais par quel lien m'attire
Dont les infinies senteurs ne font qu'éblouir...
Peut être ce sentiments de paix que dégagent
Ces prophétiques oliviers au feuillage d'argent,
Peut être cette fragrance d'antan où certain mage
Aurait déposé quelques lavandes d'encens,
Peut être le crissement incessant des cigales,
L'accent qui à mon oreille reste méconnu,
Ou bien peut être à ce ciel empli d'étoiles
Me signifiant insignifiance du méconnu...
La voie de mon avenir, de mon destin,
La percée brillante de nouveaux chemins...
Ce soleil brûlant qui effaçait mes peines
A été destitué par une clarté blafarde,
D'horribles tours cubiques parcourent mon horizon,
Les remugles, les brouhahas de la vie urbaine
Me laissent désorientée, muette, hagarde,
Percevant la pestilence fétide du poison...
Septembre 1983
Dénouement heureux: j'ai quitté Paris et demeure en Provence
depuis septembre 1988 !!!