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MA PETITE FILLE EN NOIR

willy25

Poète libéré
#1


Ma petite fille en noir,
Noyé dans son désespoir.
La vie te quitte et s’en va
À chacun de tes pas.

Moi impuissant qui aime,
C’est ombre de toi-même,
Qu’un corps famélique,
Aux vapeurs alcooliques.

Ma petite fille en noir,
Qui ne sais plus être et avoir.
Âme meurtrie errante,
D’une langueur blessante.

Je suis condamne crucifié,
À voir se supplicier,
Un peu plus chaque jour,
Le fruit de mon amour.

Ma petite fille en noir,
Si seulement tu pouvais savoir,
Combien est lourde ma peine,
D’une lutte aussi veine.

Faire que mon cœur chavire,
De revoir un jour ton sourire,
Plus lumineux qu’un soleil,
Et à nul autre pareil.

Ma petite fille en noir,
Dans les lueurs d’un soir,
Ta vie fuit et tangue,
De tes veines exsangues.

Reviens avant qu’il ne soit trop tard,
Et ne t’emporte ce cauchemar.
Je tends pris coopéré
C’est le crie te ton père.

Ma petite fille triste
Avant que de toi rien ne subsiste,
Que le souvenir sans espoir,
D’une petite fille en noir.

WøLø
8/12/2012​
 

iboujo

Maître Poète
#2
dzs mots....la grande peine d'un papa...
je comprends mieux,
Courage Willy..il faut garder l'espoir;la médecine fait des miracles de nos jours même pour les leucémiques.....si j'ai compris
je t'embrasse affectueusement et tout en pensées..
tu es mon coup de coeur.
jocelyne
 
Dernière édition:
#3
Ma prison, mon enfer,

Dans le vide de mes pensées,
Dans ma douleur emprisonnée,
Je poursuis mon chemin tracé…


Mes silences, sont mes blessures ;
Mes sourires, mes chimères obscures.
Coule en moi cette rivière impure,
Tel un poignard elle m’enserre elle me torture!


Dans mon âme, elle me transperce,
Dans mon corps cette faiblesse ;
Ombre de ma peur ! Défiant ma vie,
Sombres lueurs dévastant l’ennuie,
Terré dans cette enfer je suis puni


Purifier l’or de mes mains,
Je respire, en mon sein, je sens la fin.
Donner moi encore un lendemain


Dans ces mornes couloirs,
Qui sont à présent mon manoir.
La ou ère ma silhouette,
Les clowns savants me scrutent,


Mon corps ne m’appartient plus,
Seul mon esprit vagabonde nu.
Je suis ce pantin de chiffon,
Un barreau une cloison,
Une rivière en amont,
Je me terre en cette prison.


Mes yeux, mon cœur, saignent,
La douleur m’imprègne,
Un ange cri aux abois !
Ce vide en moi règne,
Une rose à l’orée du bois,


Et les portes de mon cœur,
S’ouvrent sans rancœur,
Dois-je me laisser périr,
Suis-je à maudire.


Mes larmes comme arme,
Mon âme une lame,
Mes sourires un drame,


Enfermer dans ces quatre murs,
Où ma raison se meurt amère,
Instant d’allégresse,


Vous ne voyiez ma tristesse ?
Et pourtant elle me blesse !
Je me sens si seule,
Dans ce monde hostile,


Pourquoi ?…
Laisser moi …
Juste y croire
Encore une fois …





je connais cette douleur qui en serre
qui tue qui rend impuissant
ce poème ne me concerne pas
mais j'en connais la souffrance pour l'avoir vécue
en l'occurrence dans mon métier
qui est d'apporter soulagement
à ces coeurs en souffrance
tendresse d'un coeur meurtri de larme
 
Dernière édition:
#4
je n'ai pas de mot pour la souffrance
je n'ai que mes larmes comme pénitence
je comprends mieux votre dernier poème
je comprends mieux cette impuissance
mais vous n'êtes fautif de rien
elle est un venin qui se glisse
est rampe comme un serpent
venant tout bat se nourrir
de ses âmes fragile
vous ni êtes pour rien
ce poison vous ne l'avez pas demander
mais si vous mettez fin à votre vie
la oui vous allez décevoir votre fille
qui ne veux pas voir son père sombrer
vous devez vivre pour elle
même si cela est dur
vous devez vivre
avec toute ma tendresse du coeur
qu'elle apaise vos souffrances
même si je sais que rien enlèvera
tendrement °° Plume D'Ange °°
 
Dernière édition:

maryvelo

Maître Poète
#5
Vivre la maladie de son enfant est une terrible épreuve,mais je sais que quand on est parent toutes les forces se déploient pour l'accompagner et l'entourer d'amour.Je comprends aussi que tu sois submergé par d'affreuses douleurs toi même.Je te dis courage...
Amicalement.
 

willy25

Poète libéré
#7
dzs mots....la grande peine d'un papa...
je comprends mieux,
Courage Willy..il faut garder l'espoir;la médecine fait des miracles de nos jours même pour les leucémiques.....si j'ai compris
je t'embrasse affectueusement et tout en pensées..
tu es mon coup de coeur.
jocelyne
Ma prison, mon enfer,

Dans le vide de mes pensées,
Dans ma douleur emprisonnée,
Je poursuis mon chemin tracé…


Mes silences, sont mes blessures ;
Mes sourires, mes chimères obscures.
Coule en moi cette rivière impure,
Tel un poignard elle m’enserre elle me torture!


Dans mon âme, elle me transperce,
Dans mon corps cette faiblesse ;
Ombre de ma peur ! Défiant ma vie,
Sombres lueurs dévastant l’ennuie,
Terré dans cette enfer je suis puni


Purifier l’or de mes mains,
Je respire, en mon sein, je sens la fin.
Donner moi encore un lendemain


Dans ces mornes couloirs,
Qui sont à présent mon manoir.
La ou ère ma silhouette,
Les clowns savants me scrutent,


Mon corps ne m’appartient plus,
Seul mon esprit vagabonde nu.
Je suis ce pantin de chiffon,
Un barreau une cloison,
Une rivière en amont,
Je me terre en cette prison.


Mes yeux, mon cœur, saignent,
La douleur m’imprègne,
Un ange cri aux abois !
Ce vide en moi règne,
Une rose à l’orée du bois,


Et les portes de mon cœur,
S’ouvrent sans rancœur,
Dois-je me laisser périr,
Suis-je à maudire.


Mes larmes comme arme,
Mon âme une lame,
Mes sourires un drame,


Enfermer dans ces quatre murs,
Où ma raison se meurt amère,
Instant d’allégresse,


Vous ne voyiez ma tristesse ?
Et pourtant elle me blesse !
Je me sens si seule,
Dans ce monde hostile,


Pourquoi ?…
Laisser moi …
Juste y croire
Encore une fois …





je connais cette douleur qui en serre
qui tue qui rend impuissant
ce poème ne me concerne pas
mais j'en connais la souffrance pour l'avoir vécue
en l'occurrence dans mon métier
qui est d'apporter soulagement
à ces coeurs en souffrance
tendresse d'un coeur meurtri de larme
 

willy25

Poète libéré
#8
je n'ai pas de mot pour la souffrance
je n'ai que mes larmes comme pénitence
je comprends mieux votre dernier poème
je comprends mieux cette impuissance
mais vous n'êtes fautif de rien
elle est un venin qui se glisse
est rampe comme un serpent
venant tout bat se nourrir
de ses âmes fragile
vous ni êtes pour rien
ce poison vous ne l'avez pas demander
mais si vous mettez fin à votre vie
la oui vous allez décevoir votre fille
qui ne veux pas voir son père sombrer
vous devez vivre pour elle
même si cela est dur
vous devez vivre
avec toute ma tendresse du coeur
qu'elle apaise vos souffrances
même si je sais que rien enlèvera
tendrement °° Plume D'Ange °°