Après ma dernière heure de cours,
J'avais 14 ans quand tu as vu le jour,
Ma tante est venue me chercher
Et là, j'ai compris que tu étais née.
A la maternité nous nous sommes rendues,
Pour voir le petit ange qui ce jour-là était apparu.
Toute petite crevette grise de teint,
Des pauses respiratoires, tu en faisais plein.
Maintenant tu as bien grandi,
Tu es pleine d'énergie,
Tu fais beaucoup moins de comédies,
Petite fille qui profite de la vie.
J'avais 14 ans quand tu as vu le jour,
Ma tante est venue me chercher
Et là, j'ai compris que tu étais née.
A la maternité nous nous sommes rendues,
Pour voir le petit ange qui ce jour-là était apparu.
Toute petite crevette grise de teint,
Des pauses respiratoires, tu en faisais plein.
Maintenant tu as bien grandi,
Tu es pleine d'énergie,
Tu fais beaucoup moins de comédies,
Petite fille qui profite de la vie.
Je ne te vois plus très souvent maintenant,
Vous êtes parties dans votre cambrousse avec Maman,
Mais ce n'est pas pour autant,
Qu'à toi je ne pense pas souvent.
Tu es mon petit rayon de soleil,
Celle devant qui sans cesse je m'émerveille,
Celle que, comme une seconde maman, j'ai élevée,
Celle que j'aime chouchouter.
Je ne désire pas avoir d'enfant,
Et ce depuis très longtemps,
Pourtant si cela m'arrivait un jour, à moi,
Je voudrais une fille et qu'elle soit comme toi.
Il n'y a pas beaucoup de gens pour qui je donnerais ma vie,
Mais toi, ma pétasse, tu en fais sans nul doute partie,
Tu es l'espoir de mes jours comme de mes nuits,
Tu es ma petite sœur chérie !
Vous êtes parties dans votre cambrousse avec Maman,
Mais ce n'est pas pour autant,
Qu'à toi je ne pense pas souvent.
Tu es mon petit rayon de soleil,
Celle devant qui sans cesse je m'émerveille,
Celle que, comme une seconde maman, j'ai élevée,
Celle que j'aime chouchouter.
Je ne désire pas avoir d'enfant,
Et ce depuis très longtemps,
Pourtant si cela m'arrivait un jour, à moi,
Je voudrais une fille et qu'elle soit comme toi.
Il n'y a pas beaucoup de gens pour qui je donnerais ma vie,
Mais toi, ma pétasse, tu en fais sans nul doute partie,
Tu es l'espoir de mes jours comme de mes nuits,
Tu es ma petite sœur chérie !