Ma mère
Tel un rêve concis qui a longé le fil de ma vie
Était sa présence sur mon long chemin de vie
L’astre brillant qui illuminait mes heureux jours
Flétrit par le temps, s’est éteint pour toujours.
Mais sa brillance est éternellement vive en moi
Tel le soleil de plein jour qu’en rêve je perçois
C’est ma très chère irremplaçable défunte mère
Qu’en ce jour béni, de grande prière, je pleure.
Miraculeuse source innée de ma venue à la vie,
Profonde tendresse maternelle que nul n’oublie,
De toutes les femmes de notre opulent Univers
Ma mère, tu étais et resterais l’être le plus cher.
Il n’y a point d’être plus précieux à mon cœur
Et plus admirable à mes yeux que toi ma mère,
Tu étais cette vive lumière qui éclairait ma vie
Et cette aurore d’espoir qui animait mon esprit.
Ta présence adoucissait mon âme en tout temps
Et assurait à mon existence un fleuré printemps,
Tu étais l’ange qui me protégeait jours et nuits,
Étroitement lié à mon cœur que tout autre ami.
Pleine de tendresse, affectueuse et si clémente,
Dans mon cœur, tu es éternellement présente,
Tes caresses m’étaient plus légers que le vent
Et ton beau sourire m’était toujours consolant.
Aujourd’hui mon âme se blottit sous ton image
A la recherche de ce fort lien de mon autre âge,
Quand je n’étais encore qu’enfant dans tes bras,
Cet aimable abri, doux nid au soyeux ombrage.
Tu m’avais quitté au bout du parcours inachevé,
Où le temps, sans toi, me semblait s’être arrêté,
Tu étais le témoin de mes pleurs et de mes rires,
Comblée tu m’as vu naître, peiné je t’ai vu partir.
Terre, sous ta glaise, ici, ma mère est endormit
Et moi en vie sur ton espace, je larmoie et je prie
En ce bienheureux jour où l’on honore les mères
Dans l’allégresse enjolivée de longues prières.
Sous le pesant poids de la terre ensevelis depuis,
Gît son honorable corps vidé de l’essence de la vie,
En ce triste et farouche lieu, sans âmes ni soleil,
Où tout est encellulé dans le perpétuel sommeil.
De la pierre froide, je ressens son tiède haleine
Envahir mon corps qui éveille encore ma peine,
Debout devant sa sépulture, mes yeux en larmes
J’implore le Seigneur pour la paix de son âme.
Obarry-11.09.2017
Tel un rêve concis qui a longé le fil de ma vie
Était sa présence sur mon long chemin de vie
L’astre brillant qui illuminait mes heureux jours
Flétrit par le temps, s’est éteint pour toujours.
Mais sa brillance est éternellement vive en moi
Tel le soleil de plein jour qu’en rêve je perçois
C’est ma très chère irremplaçable défunte mère
Qu’en ce jour béni, de grande prière, je pleure.
Miraculeuse source innée de ma venue à la vie,
Profonde tendresse maternelle que nul n’oublie,
De toutes les femmes de notre opulent Univers
Ma mère, tu étais et resterais l’être le plus cher.
Il n’y a point d’être plus précieux à mon cœur
Et plus admirable à mes yeux que toi ma mère,
Tu étais cette vive lumière qui éclairait ma vie
Et cette aurore d’espoir qui animait mon esprit.
Ta présence adoucissait mon âme en tout temps
Et assurait à mon existence un fleuré printemps,
Tu étais l’ange qui me protégeait jours et nuits,
Étroitement lié à mon cœur que tout autre ami.
Pleine de tendresse, affectueuse et si clémente,
Dans mon cœur, tu es éternellement présente,
Tes caresses m’étaient plus légers que le vent
Et ton beau sourire m’était toujours consolant.
Aujourd’hui mon âme se blottit sous ton image
A la recherche de ce fort lien de mon autre âge,
Quand je n’étais encore qu’enfant dans tes bras,
Cet aimable abri, doux nid au soyeux ombrage.
Tu m’avais quitté au bout du parcours inachevé,
Où le temps, sans toi, me semblait s’être arrêté,
Tu étais le témoin de mes pleurs et de mes rires,
Comblée tu m’as vu naître, peiné je t’ai vu partir.
Terre, sous ta glaise, ici, ma mère est endormit
Et moi en vie sur ton espace, je larmoie et je prie
En ce bienheureux jour où l’on honore les mères
Dans l’allégresse enjolivée de longues prières.
Sous le pesant poids de la terre ensevelis depuis,
Gît son honorable corps vidé de l’essence de la vie,
En ce triste et farouche lieu, sans âmes ni soleil,
Où tout est encellulé dans le perpétuel sommeil.
De la pierre froide, je ressens son tiède haleine
Envahir mon corps qui éveille encore ma peine,
Debout devant sa sépulture, mes yeux en larmes
J’implore le Seigneur pour la paix de son âme.
Obarry-11.09.2017