Ma langue sur ton corps
(Femme nue allongée odalisque XIXè de James Pradier)
J'ai parcouru ton corps de mes lèvres assoiffées
Plus loin que j'avançais, plus sûr j'étais de t'aimer
J'ai léché comme un fou la peau de tes aisselles
Le parfum de ton cou je l'ai bu, oh ma belle
Ma langue sur ton dos montait plein d'espérance
Puis descendait en bisous vers d'autres fragrances
J'ai humecté les monts, aspiré l'air des vallées
Comme un chercheur d'or noir, j'ai creusé tes cavités
J'ai sucé ton orteil, il était à mon goût
Sondé la pulsation au creux de ton genou
J’ai mordillé ton entrecuisse de déesse
Et en finesse la descente de tes fesses
Tu t'es retournée et ta bouche m'a aspiré
Je lisais dans tes yeux la satisfaction des dieux
Ma langue dans tes oreilles enflammait ton désir
Jamais, lécher un corps m'a donné tant de plaisir
J'ai pris la mesure de la douceur de tes seins
Tel un bébé affamé, j'ai bu jusqu'à plus faim
Dans ton nombril encore une goutte d'excitation
Tes mains m'ont conduit au centre de tes vibrations
Enfin arrivé à la destination de mon voyage
Ma bouche ne m'appartenait plus, j'étais en nage
Je vidais telle une pompe en immersion
Les eaux de ton centre submergé d'excitation
J’ai lu ton corps dans les moindres recoins
Je n’en peux rien…j’ai toujours autant faim
Dès le premier contact cette harmonie parfaite
Jamais dans ma vie, je n’ai été aussi satisfaite
Stille, 11/01/2011
Tous droits réservés ©
(Femme nue allongée odalisque XIXè de James Pradier)
J'ai parcouru ton corps de mes lèvres assoiffées
Plus loin que j'avançais, plus sûr j'étais de t'aimer
J'ai léché comme un fou la peau de tes aisselles
Le parfum de ton cou je l'ai bu, oh ma belle
Ma langue sur ton dos montait plein d'espérance
Puis descendait en bisous vers d'autres fragrances
J'ai humecté les monts, aspiré l'air des vallées
Comme un chercheur d'or noir, j'ai creusé tes cavités
J'ai sucé ton orteil, il était à mon goût
Sondé la pulsation au creux de ton genou
J’ai mordillé ton entrecuisse de déesse
Et en finesse la descente de tes fesses
Tu t'es retournée et ta bouche m'a aspiré
Je lisais dans tes yeux la satisfaction des dieux
Ma langue dans tes oreilles enflammait ton désir
Jamais, lécher un corps m'a donné tant de plaisir
J'ai pris la mesure de la douceur de tes seins
Tel un bébé affamé, j'ai bu jusqu'à plus faim
Dans ton nombril encore une goutte d'excitation
Tes mains m'ont conduit au centre de tes vibrations
Enfin arrivé à la destination de mon voyage
Ma bouche ne m'appartenait plus, j'étais en nage
Je vidais telle une pompe en immersion
Les eaux de ton centre submergé d'excitation
J’ai lu ton corps dans les moindres recoins
Je n’en peux rien…j’ai toujours autant faim
Dès le premier contact cette harmonie parfaite
Jamais dans ma vie, je n’ai été aussi satisfaite
Stille, 11/01/2011
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