Dans la nuit silencieuse,
Ou seul le vent dérange les branches parresseuses,
La lune veille,
A ce que chaques êtres humains, au jour s'éveille,
Elle observe de son trône,
La nuit qui dors, les loups qui rodent,
Elle regarde s'endormir le malin,
Puis plonge son regard plus loin,
Là ou une jeune femme prend espoir,
Un rayon de lune sur sa joue,
Et elle tombe a genoux,
Devant le plus grand des miracles,
Le plus obscure obstacle,
La plus grande beauté de la nature,
L'espoir qui lui a guéri ses blessures,
Rien, ni le vent, ni la pluie, ni les nuages,
Ne pourront noircir ce doux préssage,
Car l'espoir est le dernier a mourir
Espérence
Ou seul le vent dérange les branches parresseuses,
La lune veille,
A ce que chaques êtres humains, au jour s'éveille,
Elle observe de son trône,
La nuit qui dors, les loups qui rodent,
Elle regarde s'endormir le malin,
Puis plonge son regard plus loin,
Là ou une jeune femme prend espoir,
Un rayon de lune sur sa joue,
Et elle tombe a genoux,
Devant le plus grand des miracles,
Le plus obscure obstacle,
La plus grande beauté de la nature,
L'espoir qui lui a guéri ses blessures,
Rien, ni le vent, ni la pluie, ni les nuages,
Ne pourront noircir ce doux préssage,
Car l'espoir est le dernier a mourir
Espérence