Admirant, silence immobile,
Dans cette immensité, mobile.
Ou la fleuraison péris,
De la clartées, de ses ombres fis,
Le sommeille, durablement suffit,
Dans un cloître...
Ou la lumière blême, transcris,
Chante nébuleuse...
De tes soufflent, langoureux,
Monotone, son les cris,
Quand l’automne,
Fait son lit...
Dans cette immensité, mobile.
Ou la fleuraison péris,
De la clartées, de ses ombres fis,
Le sommeille, durablement suffit,
Dans un cloître...
Ou la lumière blême, transcris,
Chante nébuleuse...
De tes soufflent, langoureux,
Monotone, son les cris,
Quand l’automne,
Fait son lit...