Tendres reflets de pleine lune, éclairant une pièce ou la prison d’un homme n’ayant que ses pensées pour s’en évader…
Ces reflets pénètrent son cœur aussi certainement que ses peurs, il est là , vagabondant, ne sachant ou aller, comme un bateau errant sans savoir ou larguer ses amarres…
Ses yeux sont vides, cruels souvenirs, du passé qui fixe une image traversant les souvenirs. Sa main toujours obéissante fait apparaître des pages envoutantes, ses yeux s’éclairent , une lueur semble naître isolé dans la brume de ses souvenirs…
Serais-ce un endroit de chaleur dont son cœur en est dépourvu depuis longtemps ? Un feu chaleureux ou son cœur glacé pourrait se réchauffer ? Il veut y croire, l’espoir monte en lui comme une chaleur irradiante de bonheur pénètre enfin son cœur…
Depuis des temps immémoriaux, il avance dans le silence de la souffrance. Tourmenté, Victime de ses maux qui le rongent et le démangent.
Il est là, fixant cette image, éclairante, envoutante, attirante… Attirée sa main se fait désobéissante , commence a écrire assemblant des mots comme des peurs , des phrases semblant envies , des strophes qui raconte sa vie , Des poèmes tel des larmes qui habitent son cœur…
L’homme se perds, il erre prisonnier de sa main et son cœur… Conquis il raconte sa vie, partageant ses nuits… D’autres font comme lui, ils sont réunis… Obéissent a leurs mains, partagent les larmes de leurs cœur…
Maintenant heureux, il vogue sur les reflets de lune, voyage au fil des pages. A ne plus pouvoir s’en passer, cette complicité qui a créé ces amitiés…
Il erre tel une feuille sur le lit d’une rivière, une fleur poussant sur la terre… Il sème comme il aime de tendres poèmes sur « Créapoèmes ».
Une lucarne de voyage dans sa pièce désormais dénué d’éclairages. Son cœur comme subjugué par ces impressions d’horizons, comment se passer alors de cette sensation ?
Main obéissante a son cœur, ne se lassera jamais de ce bonheur et vous sa lucarne de voyage qui lui donne courage, je vous adresse mes remerciements en me retirant doucement…
