L’inconnue du clavier
Je ne connais pas son visage, ni son nom.
Je ne sais pas où elle habite et je m’en fous.
Elle habite l’UC de mon ordinateur.
Elle en est l’âme vive, elle en est la mémoire.
J’ai son avatar en guise de fond d’écran,
J’ai placé son pseudo parmi mes favoris.
Je ne la connais pas, mais elle a pris mon cœur.
Ses mots ont enflammé mon imagination.
Elle écrit des poèmes aux accents enchanteurs
Et je pars en voyage à chacun de ses textes.
Elle m’emmène avec elle jusque dans les nuages.
Ensemble nous volons, mais elle ne le sait pas.
Elle est comme une fleur qui trotte dans ma tête.
Elle parfume mes rêves, elle embellit mes nuits.
Ses pétales tapissent mon bel univers.
Ses mots sont un jardin, je suis le jardinier.
Je voudrais la connaître, pouvoir toucher sa peau,
Caresser ses cheveux, goûter ses douces lèvres,
Mais je sais que la femme derrière le pseudo
N’est peut-être pas celle qui nourrit mes désirs.
Douce inconnue, cachée derrière ton clavier,
Toi qui trouble mes sens avec tes mots magiques,
Est-ce que tu m’imagines comme je t’imagine ?
Et rêves tu de moi comme je rêve de toi ?
10 novembre 2008
Je ne connais pas son visage, ni son nom.
Je ne sais pas où elle habite et je m’en fous.
Elle habite l’UC de mon ordinateur.
Elle en est l’âme vive, elle en est la mémoire.
J’ai son avatar en guise de fond d’écran,
J’ai placé son pseudo parmi mes favoris.
Je ne la connais pas, mais elle a pris mon cœur.
Ses mots ont enflammé mon imagination.
Elle écrit des poèmes aux accents enchanteurs
Et je pars en voyage à chacun de ses textes.
Elle m’emmène avec elle jusque dans les nuages.
Ensemble nous volons, mais elle ne le sait pas.
Elle est comme une fleur qui trotte dans ma tête.
Elle parfume mes rêves, elle embellit mes nuits.
Ses pétales tapissent mon bel univers.
Ses mots sont un jardin, je suis le jardinier.
Je voudrais la connaître, pouvoir toucher sa peau,
Caresser ses cheveux, goûter ses douces lèvres,
Mais je sais que la femme derrière le pseudo
N’est peut-être pas celle qui nourrit mes désirs.
Douce inconnue, cachée derrière ton clavier,
Toi qui trouble mes sens avec tes mots magiques,
Est-ce que tu m’imagines comme je t’imagine ?
Et rêves tu de moi comme je rêve de toi ?
10 novembre 2008