Roméo accoudé sur son balcon
Qui était surnommé le petit con
Et bien trop fière de son cornichon
Aimait z’yeuter les beaux nichons.
D’une belle demoiselle
Plus trop pucelle
Qui se prélassait en fines dentelles
Sur son balcon d’en dessous, donnant rue de Mortadelle…
C’était le soir qui tombait
Lui ébloui par la vue, subjugué
De deux petits ballons qui se balançaient
Ils étaient magnifiques à regarder
La demoiselle qui n’était pas dupe
En liquette, après avoir ôter sa jupe
Du dernier rayon de soleil, il en était juge
De la beauté en transparence, d’émotion en déluge
Sortit sa corde pour y descente de suite
Vers la belle, il glissa trop vite
Se brûlant le cornichon, à la peau trop cuite
Que le malheureux, dut de pommade « l’enduite »..
Moral de cette petite histoire
Il vaut mieux regarder le soir
La télé même dans le noir
Que de regarder les dames en peignoir…
Qui était surnommé le petit con
Et bien trop fière de son cornichon
Aimait z’yeuter les beaux nichons.
D’une belle demoiselle
Plus trop pucelle
Qui se prélassait en fines dentelles
Sur son balcon d’en dessous, donnant rue de Mortadelle…
C’était le soir qui tombait
Lui ébloui par la vue, subjugué
De deux petits ballons qui se balançaient
Ils étaient magnifiques à regarder
La demoiselle qui n’était pas dupe
En liquette, après avoir ôter sa jupe
Du dernier rayon de soleil, il en était juge
De la beauté en transparence, d’émotion en déluge
Sortit sa corde pour y descente de suite
Vers la belle, il glissa trop vite
Se brûlant le cornichon, à la peau trop cuite
Que le malheureux, dut de pommade « l’enduite »..
Moral de cette petite histoire
Il vaut mieux regarder le soir
La télé même dans le noir
Que de regarder les dames en peignoir…