Le roseau affaibli se courbe, se plie
résiste de toutes ses forces au vent, à la pluie
alors que les grands arbres tôt ou tard se déracinent
sous la tempête du peuple qui se mutine.
Peuple enchaîné, mutilé, tu es abreuvé de fausses vérités
on t'invente des nouvelles valeurs, de futiles priorités
il parait si important de se fondre dans la masse
tu finis asphyxié comme un poisson dans une nasse.
L'herbe fane, se couche mais se relève de toute façon
fragile, piétinée, elle repousse toujours à chaque saison
alors que les grands arbres majestueux, au dessus des cieux
finissent branches à terre dévorés par des insectes besogneux.
Peuple aseptisé, peuple endormi, peuple fourmi
ne vois tu pas au bout du tunnel ce petit point qui luit
la liberté n'est pas cette vitrine éclairée , enguirlandée
qui met en lumière, le désir, l'envie, pour mieux nous frustrer.
La brindille s'envole se gondole, la brindille s'enflamme
sans cette étincelle pour allumer le foyer de nos âmes
à quoi serviraient les grands arbres à la belle apparence
sans les fagots pour attiser les braises de notre conscience.
Peuple désarçonné, peuple avili, peuple asservi
le luxe, la monnaie ne sont pas les vrais buts dans la vie
en vouloir plus, consommer à en jeter, à se gaver, à en vomir
la planète crie" au secours", ne l'entends tu pas gémir?
Le roseau affaibli se courbe, se plie
l'herbe fane, se couche mais renaît à chaque saison
la brindille s'envole, se gondole, s'enflamme
l'être humain ne pourra pas éternellement vivre à crédit
à piller cette terre promise, y déverser son poison
pour le pouvoir, l'argent, ils vendent leur âme.
Une poignée de sages se tiennent déjà par la main
tous ces poètes, tous les amoureux qui croient en demain
écoutez les , aidez les, tous les artistes bâillonnés
vous savez, ceux qui n'apparaissent jamais en prime time à la télé.
Avec des mots, des sourires, des chansons
au dehors souffle les murmures de la rébellion
pour sauver les êtres vivants qui n'ont rien demandé
les espèces que nous les " intelligents" devions protéger.
Créer une nouvelle société basée sur l'équité
chacun pourrait user de ses capacités innées
partager des aptitudes, valoriser les talents, ne pas tout gâcher
le bonheur pour tous devrait être un droit pour toute l'humanité.
IsabelleFJ
résiste de toutes ses forces au vent, à la pluie
alors que les grands arbres tôt ou tard se déracinent
sous la tempête du peuple qui se mutine.
Peuple enchaîné, mutilé, tu es abreuvé de fausses vérités
on t'invente des nouvelles valeurs, de futiles priorités
il parait si important de se fondre dans la masse
tu finis asphyxié comme un poisson dans une nasse.
L'herbe fane, se couche mais se relève de toute façon
fragile, piétinée, elle repousse toujours à chaque saison
alors que les grands arbres majestueux, au dessus des cieux
finissent branches à terre dévorés par des insectes besogneux.
Peuple aseptisé, peuple endormi, peuple fourmi
ne vois tu pas au bout du tunnel ce petit point qui luit
la liberté n'est pas cette vitrine éclairée , enguirlandée
qui met en lumière, le désir, l'envie, pour mieux nous frustrer.
La brindille s'envole se gondole, la brindille s'enflamme
sans cette étincelle pour allumer le foyer de nos âmes
à quoi serviraient les grands arbres à la belle apparence
sans les fagots pour attiser les braises de notre conscience.
Peuple désarçonné, peuple avili, peuple asservi
le luxe, la monnaie ne sont pas les vrais buts dans la vie
en vouloir plus, consommer à en jeter, à se gaver, à en vomir
la planète crie" au secours", ne l'entends tu pas gémir?
Le roseau affaibli se courbe, se plie
l'herbe fane, se couche mais renaît à chaque saison
la brindille s'envole, se gondole, s'enflamme
l'être humain ne pourra pas éternellement vivre à crédit
à piller cette terre promise, y déverser son poison
pour le pouvoir, l'argent, ils vendent leur âme.
Une poignée de sages se tiennent déjà par la main
tous ces poètes, tous les amoureux qui croient en demain
écoutez les , aidez les, tous les artistes bâillonnés
vous savez, ceux qui n'apparaissent jamais en prime time à la télé.
Avec des mots, des sourires, des chansons
au dehors souffle les murmures de la rébellion
pour sauver les êtres vivants qui n'ont rien demandé
les espèces que nous les " intelligents" devions protéger.
Créer une nouvelle société basée sur l'équité
chacun pourrait user de ses capacités innées
partager des aptitudes, valoriser les talents, ne pas tout gâcher
le bonheur pour tous devrait être un droit pour toute l'humanité.
IsabelleFJ