Les weinstein-porcs
Je n'ai de mots assez durs
Si ce n'est celui d'ordure
Pour ceux qui jouent de leur dur
Le pouvoir comme encablure.
Si ce n'est celui d'ordure
Pour ceux qui jouent de leur dur
Le pouvoir comme encablure.
Je n'ai de mots assez forts
Si ce n'est celui de porc
Pour ces imbus de leur corps
Qui ne voient venir leur sort
Si ce n'est celui de porc
Pour ces imbus de leur corps
Qui ne voient venir leur sort
De la bouche libérée
De leurs proies avérées
Qui ne sont plus sidérées
Ni dans l'ombre à macérer.
De leurs proies avérées
Qui ne sont plus sidérées
Ni dans l'ombre à macérer.
Je n'ai de mots qui mieux choquent
Et fassent électrochoc
Pour que nos voix ne suffoquent
Contre ces baisseurs de froc.
Et fassent électrochoc
Pour que nos voix ne suffoquent
Contre ces baisseurs de froc.
Commence une autre aventure
Pour ces hommes... Ces enflures!
Au cerveau sous la ceinture,
Leur nom livré en pâture.
Pour ces hommes... Ces enflures!
Au cerveau sous la ceinture,
Leur nom livré en pâture.
Je n'ai de mots assez crus
Mais des pensées bien à nu
Pour dénoncer leurs abus
Sans peur même d'être lu
Mais des pensées bien à nu
Pour dénoncer leurs abus
Sans peur même d'être lu
Espérant que la justice
Ne passera sur leurs vices
Et leurs pensées réductrices,
Pour tant de préjudices.
Ne passera sur leurs vices
Et leurs pensées réductrices,
Pour tant de préjudices.
Je n'ai de mots assez soûls
Pour leur vomir mon dégoût
Plus encore mon courroux
Qui font de mes vers des loups.
Pour leur vomir mon dégoût
Plus encore mon courroux
Qui font de mes vers des loups.
Je n'ai de mots assez moches
Pour que ma plume les embroche
Et leur membre décroche,
Croyez bien , mieux qu'au cinoche,
Pour que ma plume les embroche
Et leur membre décroche,
Croyez bien , mieux qu'au cinoche,
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