Les vies de bûcherons
Par tout les temps, il y avait tellement de forets,
Qu'ils allaient chaque jour sillonnaient
D'immenses arbres qu'ils allaient tronçonner
Sous de belles orées.
Entres les feuillages perçaient les rayons du soleil,
Humaient les senteurs sauvages
Effleuraient ces arbres ayant un grand âge
Tout en haut des cimes, ils voyaient l'immensité du ciel.
Là, calmement ils se ré-oxygénaient,
Assis sur le tronc d'un vieil arbre déjà à terre
Ensemble, paisiblement ils observaient les lointaines clairières
A l'ombre sous les genets.
Une pensée pour mon papa et mon parrain ( son frère jumeaux)
Par tout les temps, il y avait tellement de forets,
Qu'ils allaient chaque jour sillonnaient
D'immenses arbres qu'ils allaient tronçonner
Sous de belles orées.
Entres les feuillages perçaient les rayons du soleil,
Humaient les senteurs sauvages
Effleuraient ces arbres ayant un grand âge
Tout en haut des cimes, ils voyaient l'immensité du ciel.
Là, calmement ils se ré-oxygénaient,
Assis sur le tronc d'un vieil arbre déjà à terre
Ensemble, paisiblement ils observaient les lointaines clairières
A l'ombre sous les genets.
Une pensée pour mon papa et mon parrain ( son frère jumeaux)