Les statues, beautés éternelles sur rimes de Oh !!!
Au de-là de la forme, au de-là des mots
Il y a la douceur pastelle de l'être pur et beau
Ces statues, ces magnifiques corps ancestraux
Un lait pour les yeux, une brise pour la peau.
Impossible de décrire ces tendres agneaux
Qui par leurs paroles nous rendent idiots
Ne prononcent rien, un silence non en trop
Crée un monde, un univers d'atomes équilatéraux.
Ces statues de femmes en marbre chauds flambeaux
Qui nous marquent, nous hommes, pauvres gigots
Plus que ne le ferait le fer rouge à chaud
En profondeur, en surface, nous, pensant roseaux.
De pierres, vous ne vivez que par nos rêves idéaux
Plus réelles que les mythes de femmes bourreaux
Créant en nous des soupirs de nuages gorgés d'eaux
Pour nous soutirer, malgré nous, nos sanglots.
Ces femmes de roches aux coeurs tendres en solo
Ne rivalisent avec les vrais êtres d'os et de peau
Qui d'un ton rendent la vie douce et sans chaos
Pour nous écorcher nos instincts de damoiseau.
Au de-là de la forme, au de-là des mots
Il y a la douceur pastelle de l'être pur et beau
Ces statues, ces magnifiques corps ancestraux
Un lait pour les yeux, une brise pour la peau.
Impossible de décrire ces tendres agneaux
Qui par leurs paroles nous rendent idiots
Ne prononcent rien, un silence non en trop
Crée un monde, un univers d'atomes équilatéraux.
Ces statues de femmes en marbre chauds flambeaux
Qui nous marquent, nous hommes, pauvres gigots
Plus que ne le ferait le fer rouge à chaud
En profondeur, en surface, nous, pensant roseaux.
De pierres, vous ne vivez que par nos rêves idéaux
Plus réelles que les mythes de femmes bourreaux
Créant en nous des soupirs de nuages gorgés d'eaux
Pour nous soutirer, malgré nous, nos sanglots.
Ces femmes de roches aux coeurs tendres en solo
Ne rivalisent avec les vrais êtres d'os et de peau
Qui d'un ton rendent la vie douce et sans chaos
Pour nous écorcher nos instincts de damoiseau.