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Dans le lointain les sirènes chantaient
Sur la côte déserte parsemée de rochers
Le vaisseau avançait enveloppé de rêves
Des chants divins sur la blondeur des grèves
Des harpes d'amour, sur le soupir des flots
C'était l' enchantement des matelots
Un doux zéphyr sur les voiles alanguies
Rien n'incitait à une sombre perfidie
Ils voyaient toutes ces formes ondulatoires
Torses de femmes aux plus beaux seins
Accompagnant des gestes ostentatoires
Qui de loin ressemblaient à l'humain
Pourtant ce chœur divin mais fatal
Pour des marins pâmés, lentes délices
Présumait d'un prochain précipice
Pour ces mortels condamnés : le signal !
Devenus fous quand les sirènes chantaient
Toutes à la joie de ces trépas provoqués
Et juste à l'instant où la coque se brise
Satisfaites enfin de leur infâme traîtrise….
…………………………………………...
Elles existent toujours, mais pas dans la mer
Comme on ne peut se boucher les oreilles
Comme elles ont une beauté sans pareille
Leur résister demande une volonté de fer !
Jan
Sur la côte déserte parsemée de rochers
Le vaisseau avançait enveloppé de rêves
Des chants divins sur la blondeur des grèves
Des harpes d'amour, sur le soupir des flots
C'était l' enchantement des matelots
Un doux zéphyr sur les voiles alanguies
Rien n'incitait à une sombre perfidie
Ils voyaient toutes ces formes ondulatoires
Torses de femmes aux plus beaux seins
Accompagnant des gestes ostentatoires
Qui de loin ressemblaient à l'humain
Pourtant ce chœur divin mais fatal
Pour des marins pâmés, lentes délices
Présumait d'un prochain précipice
Pour ces mortels condamnés : le signal !
Devenus fous quand les sirènes chantaient
Toutes à la joie de ces trépas provoqués
Et juste à l'instant où la coque se brise
Satisfaites enfin de leur infâme traîtrise….
…………………………………………...
Elles existent toujours, mais pas dans la mer
Comme on ne peut se boucher les oreilles
Comme elles ont une beauté sans pareille
Leur résister demande une volonté de fer !
Jan