Ô subtil miroir de mon être aux traits informes
Je vois l’ombre difforme puis la silhouette
Brillante, brisante la glace aux soyeuses formes
Qui répond à la question puis répand les sept
Premier, pudeur intérieur, reine loi du Moi
Rien à dévoiler sauf aux esprits des tempêtes
Amour seine ou sainte haine, foi pour ces deux rois
Le milieu réservé à la reine Amourette
Il parait introverti parmi les personnes
Qui ne montent et ne se dressent sur l’échafaud
Parler, peu nécessaire, langue liée mais qui résonne
Parfois timide, œil fuyant les couleurs là haut
Attentionné, l’écoute des choix de cent voix
Aider sans blesser ces âmes en éclosion
Sensible aux paroles et histoires qui m’émoient
Même si parfois l’impuissance donne le ton
Caméléon de sentiments, vitrail permanent
Selon les êtres, éventail de mille délicats
Âme blanche mêlé de l’écorcheur revenant
Multiples facettes renouées à l’heure de l’éclat
Ô Humour, enfant éternel des drôleries
Millier de fééries perdues puis retrouvées
Prince timide au Seigneur l’orateur, je ris
Soirées de railleries pour des nuits enchantées
Impulsif a l’heure du tonnerre, l’exorcisme
Réveil du volcan endormi puis bourdonnant
Pour la révolte contre l’injustice et l’extrémisme
N’excluant pas l’erreur du rapide jugement
Rêveur éternel, sensibles pensées des dieux
Ultime qualité ou défaut de l’abysse
Pilier de l’âme pieux transporté vers les cieux
Pêle-mêle de nature et de nuages lisses
Multiples visages derrière le miroir
Usant intellect et l’air serein chaque soir
Pour un périple malin du blanc au noir
Afin d’écrire au loin les biens qu’il pense avoir
Je vois l’ombre difforme puis la silhouette
Brillante, brisante la glace aux soyeuses formes
Qui répond à la question puis répand les sept
Premier, pudeur intérieur, reine loi du Moi
Rien à dévoiler sauf aux esprits des tempêtes
Amour seine ou sainte haine, foi pour ces deux rois
Le milieu réservé à la reine Amourette
Il parait introverti parmi les personnes
Qui ne montent et ne se dressent sur l’échafaud
Parler, peu nécessaire, langue liée mais qui résonne
Parfois timide, œil fuyant les couleurs là haut
Attentionné, l’écoute des choix de cent voix
Aider sans blesser ces âmes en éclosion
Sensible aux paroles et histoires qui m’émoient
Même si parfois l’impuissance donne le ton
Caméléon de sentiments, vitrail permanent
Selon les êtres, éventail de mille délicats
Âme blanche mêlé de l’écorcheur revenant
Multiples facettes renouées à l’heure de l’éclat
Ô Humour, enfant éternel des drôleries
Millier de fééries perdues puis retrouvées
Prince timide au Seigneur l’orateur, je ris
Soirées de railleries pour des nuits enchantées
Impulsif a l’heure du tonnerre, l’exorcisme
Réveil du volcan endormi puis bourdonnant
Pour la révolte contre l’injustice et l’extrémisme
N’excluant pas l’erreur du rapide jugement
Rêveur éternel, sensibles pensées des dieux
Ultime qualité ou défaut de l’abysse
Pilier de l’âme pieux transporté vers les cieux
Pêle-mêle de nature et de nuages lisses
Multiples visages derrière le miroir
Usant intellect et l’air serein chaque soir
Pour un périple malin du blanc au noir
Afin d’écrire au loin les biens qu’il pense avoir
Au début tentative d'Alexandrins, mais un peu raté par moment, tant pis xD