dans tristesse parce que triste comme l'hiver,
voici avec quelques jours de retard mon poème commencé pour le concours "sous le ciel de l'hiver"
que je n'ai pu remettre à temps
Les saisons s'enchaînent au ciel d'hiver
Le long Styx déverse ses flots d'un noir nuage,
Dans le vent céleste mordant l'arbre endeuillé,
ça carcasse endormie et mon front effeuillé,
Aux fenêtres nos yeux soumis à l'embuage,
Et mon corps corrompu dans le froid esseulé,
Contemple fatigué cet humide broyage,
Sous la lune grise continue le voyage,
Où comme le fauve dans la nuit j'ai feulé,
Aux matin vierge quand enfin d'un blanc rivage,
D'une neige tombée au jour émerveillé,
La brume s’entrouvre d'azur ensoleillé,
L'hiver illumine d'une ride mon visage,
Râ dieu d’Égypte voit mon printemps s’envolé,
Les saisons s'enchaînent, la fatigue s'enrage,
Au loin mon horizon sombre en un point d'encrage,
Sur l’éternel frimas d'un paradis volé.
voici avec quelques jours de retard mon poème commencé pour le concours "sous le ciel de l'hiver"
que je n'ai pu remettre à temps
Les saisons s'enchaînent au ciel d'hiver
Le long Styx déverse ses flots d'un noir nuage,
Dans le vent céleste mordant l'arbre endeuillé,
ça carcasse endormie et mon front effeuillé,
Aux fenêtres nos yeux soumis à l'embuage,
Et mon corps corrompu dans le froid esseulé,
Contemple fatigué cet humide broyage,
Sous la lune grise continue le voyage,
Où comme le fauve dans la nuit j'ai feulé,
Aux matin vierge quand enfin d'un blanc rivage,
D'une neige tombée au jour émerveillé,
La brume s’entrouvre d'azur ensoleillé,
L'hiver illumine d'une ride mon visage,
Râ dieu d’Égypte voit mon printemps s’envolé,
Les saisons s'enchaînent, la fatigue s'enrage,
Au loin mon horizon sombre en un point d'encrage,
Sur l’éternel frimas d'un paradis volé.
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