A chacun son anniversaire. Et sa façon de se réjouir. Mon anniversaire, arrive blême. De sa bouche ne sorte. Que les soupirs. A chacun ses rêves, ses désirs. Du mal de mon âme. Le rêve a fermés ses yeux. En dépit de mes souhaits. L’espoir inutile secours. Dans le dépôt des jours. A écrouer mes désirs. A chacun son Eden son printemps. Une fenêtre sur le paradis. N’entre de ma porte que les soucis. De ma fenêtre que les ennuis. L’automne pale saison. A Jaunit ma vie. A chacun sa vie, son ange gardien. Le bonheur dans ses yeux sourit. Mon ange genre de muse. De mes nerfs s’amuse. A sceller mon sourire. Qui maintenait ma vie. A chacun ses affinités. Ses amis, ses copains. La solitude amie cadette. De mes chagrins. Nimbait sans cesse mon quotidien. Brulais la souffrance, mon visage. Pale comme tous mes matins. Las et vaincu et captif du sort. J’habite l’absence. Sur le registre du temps. Et sur le cadran des heures. LE 24/09/2010.