L’automne délicatement saisonne,
Les feuilles virevoltent en courbes monotones,
L’eau douce caressée de pluie frissonne,
Et le vent nous berce du chant qu’il fredonne.
Alors s’installe l’hiver crépusculaire,
La brume du feu s’élève des chaumières,
La neige tourbillonne dans les airs,
Telle une robe blanche souple et légère.
Puis le printemps éclot voluptueusement,
Le ciel couleur cyan a des reflets océan,
S’échappe le doux parfum d’origan et de safran,
Et la nature fleurit, plus pure qu’un diamant.
Et voila l’été, affluant pour le détrôner,
Le rouge amarante s’empare des cerisiers,
Les fontaines d’eau fraîche sont rassasiées,
Et les yeux clairs des amoureuses vont à nouveau briller…
Les feuilles virevoltent en courbes monotones,
L’eau douce caressée de pluie frissonne,
Et le vent nous berce du chant qu’il fredonne.
Alors s’installe l’hiver crépusculaire,
La brume du feu s’élève des chaumières,
La neige tourbillonne dans les airs,
Telle une robe blanche souple et légère.
Puis le printemps éclot voluptueusement,
Le ciel couleur cyan a des reflets océan,
S’échappe le doux parfum d’origan et de safran,
Et la nature fleurit, plus pure qu’un diamant.
Et voila l’été, affluant pour le détrôner,
Le rouge amarante s’empare des cerisiers,
Les fontaines d’eau fraîche sont rassasiées,
Et les yeux clairs des amoureuses vont à nouveau briller…