Les premiers cèpes de la saison,
(en vers libres nature oblige)
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
Quand je suis parti cet après midi mon panier à la main,
D'un pas léger en sifflotant le long du chemin,
Qui vous emmène tout en haut de la colline,
Traversant les bois d'or d'une forêt coralline,
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
L'automne s'annonçait bien tristounet, pas la queue d'un à l'horizon,
C'était la mi-octobre, et c'était les premiers de la saison,
Comme un petit enfant qui trouve un trésor enfouit,
Ramassant les nobles spécimens, j'en avais le coeur réjouit
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
Et dans l'euphorie, et dans la surprise, j'en ai même perdu mon couteau,
Le soleil qui jusque là m'éclairait, s'abaissait lentement sur le côteau,
Quand je suis redescendu portant ma cueillette d'un air radieux,
Traversant les rues du village, j'ai dû faire quelques envieux.
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
(en vers libres nature oblige)
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
Quand je suis parti cet après midi mon panier à la main,
D'un pas léger en sifflotant le long du chemin,
Qui vous emmène tout en haut de la colline,
Traversant les bois d'or d'une forêt coralline,
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
L'automne s'annonçait bien tristounet, pas la queue d'un à l'horizon,
C'était la mi-octobre, et c'était les premiers de la saison,
Comme un petit enfant qui trouve un trésor enfouit,
Ramassant les nobles spécimens, j'en avais le coeur réjouit
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
Et dans l'euphorie, et dans la surprise, j'en ai même perdu mon couteau,
Le soleil qui jusque là m'éclairait, s'abaissait lentement sur le côteau,
Quand je suis redescendu portant ma cueillette d'un air radieux,
Traversant les rues du village, j'ai dû faire quelques envieux.
Je n'y croyais pas trop, mais qu'est ce qu'ils étaient beaux,
Mais qu'est ce qu'ils étaient gros les cèpes à beaux chapeaux,
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