Les Passagers du temps
Au crépuscule de la joie, à notre bonheur éclos,
Que personne n'entachera, pas même une tempête,
Les gens qui sont déjà morts, ont notre odeur sur la peau,
Puisque notre lien pérenne, face au mal qui se répète.
Le temps fait passer les gens, les gens font passer le temps,
De nos émois en mouvances, provocant les médisances,
Dans l'étroitesse d'engeances, qui cherchent l'éloquence.
Mais ce lien plus fort que tout, se renforce en combattant.
Il n'y a ni dieu ni maître, étant voie de notre vie,
Rien ne peut nous empêcher, de continuer la danse,
Le monde dans la douleur, nous comprenons la souffrance,
Mais de toutes ces rancœurs, nous voulons la délivrance.
Et quelque soit votre deuil, nous ne souffrons pas l'écueil,
Nos mots se mélangeront, encore, sans contrefaçon,
Les étapes sont nombreuses, Il n'y a pas de question,
Continuons le chemin, ensemble poétisons.
Phoeube, Matthale ©(06/07/2018).
Au crépuscule de la joie, à notre bonheur éclos,
Que personne n'entachera, pas même une tempête,
Les gens qui sont déjà morts, ont notre odeur sur la peau,
Puisque notre lien pérenne, face au mal qui se répète.
Le temps fait passer les gens, les gens font passer le temps,
De nos émois en mouvances, provocant les médisances,
Dans l'étroitesse d'engeances, qui cherchent l'éloquence.
Mais ce lien plus fort que tout, se renforce en combattant.
Il n'y a ni dieu ni maître, étant voie de notre vie,
Rien ne peut nous empêcher, de continuer la danse,
Le monde dans la douleur, nous comprenons la souffrance,
Mais de toutes ces rancœurs, nous voulons la délivrance.
Et quelque soit votre deuil, nous ne souffrons pas l'écueil,
Nos mots se mélangeront, encore, sans contrefaçon,
Les étapes sont nombreuses, Il n'y a pas de question,
Continuons le chemin, ensemble poétisons.
Phoeube, Matthale ©(06/07/2018).
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